1. La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 3


    Datte: 27/01/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    La première année en faculté de médecine du Mâle dominant. 3
    
    Si vous êtes un(e) fan de mes histoires, Lucie vous a parlé d’un jeune étalon découvert chez Monsieur Paul et qu’elle l’avait retrouvé quelques années plus tard quand elle avait changé de gynéco.
    
    Relire « beau-papa fait mon éducation sexuelle et le jeune mâle dominant ».
    
    Cette histoire va conter sa première année en faculté de médecine.
    
    Mais les filles décident de se mêler à la partie. Martine le repousse et prend en main sa teub pour la diriger vers ma chatte que caresse Elisa. Evelyne et Sandrine se sont saisi chacune d’une de ses mains pour qu’il caresse leur chatte.
    
    Elles se caressent les seins entre elles, tirant les bouts devenus énormes, s’arrachant des petits cris. Avec deux doigts, Claude décalotte les clitoris pour les doigter. Sandrine sort un gode de son sac pour se l’enfoncer dans le petit trou.
    
    -Regardez comme elle bouge son cul cette salope, fait remarquer Evelyne.
    
    Je ne sais plus où j'en suis depuis qu'il me fouille la rondelle, j'ai vraiment envie qu'il aille plus loin, je veux sentir sa queue au fond de ma chatte, même si j'ai un peu peur de sa grosseur.
    
    Suite.
    
    Martine ne veut pas rester passive, elle attrape ses couilles et le force à me prendre. Le gland de Claude qui était bien positionné entre sans coup-férir dans mon vagin. En sentant la chaleur de ma grotte qui entoure sa verge, il pousse instinctivement son bassin et me pénètre complètement. Je crie en le sentant ...
    ... s’enfoncer en moi mais Elisa étouffe d’une main mes hurlements.
    
    Claude commence à aller et venir dans mon conduit étroit qui comprime son pénis. À chaque coup de reins, je gémis, jamais je n’ai ressenti un tel bonheur et je n’en reviens pas de supporter avec autant de plaisir cette matraque exceptionnelle.
    
    -Ah !... Ahhhhh !... Tu me tues !... Oh ! Pas si fort, pas si vite. Je t’en prie. Oh mon Dieu que c’est bon !
    
    Il accélère ses mouvements, sortant complètement sa queue pour me réinvestir de plus belle.
    
    Mais comme tout à l’heure, les autres filles crèvent d’envie de s’envoyer un tel gourdin et quelques minutes après, Martine passe à l’attaque. Elle saisit le membre tendu et le force à quitter ma grotte trempée pour le parcourir de sa langue, lécher ses couilles. Elle approche sa bouche du phallus, touche des lèvres la chair à vif.
    
    Sa langue excite à petits coups le frein du gland violacé avant de la faire tournoyer sur le méat entrouvert, pointant le bout de sa langue dans la fente étroite, arrachant à Claude qui apprécie sa science, des gémissements puis enroule sa langue autour du gland avant d’ouvrir sa bouche en grand pour enfourner le bout de la verge.
    
    Excitée par l’odeur forte qui s’en dégage, elle suce le membre avec application, voulant lui faire décharger tout son foutre.
    
    Mais Claude ne l’entend pas se cette oreille. Il la redresse, la repousse contre la porte et plaque ses mains dessus. Sa verge trouve sa cible sans coup-férir et il la cloue ...
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