1. Cauchemar à la villa de campagne 04


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... orifices encore dilatés par les outrages. Et quels outrages, car elle ignore qu'elle a été donnée à des chiens. Elle observe son anus. Oui, elle a bien été sodomisée et pas qu'une fois. Sa bouche, son sexe et ses seins ont aussi servi à procurer du plaisir. Son visage est collé de sperme et d'ailleurs tout son corps est souillé. Elle a du mal à l'admettre mais ce corps qui a servi de jouet sexuel est bien celui d'Isabelle, la femme qui l'a mis au monde, qui l'a nourrie et éduquée.
    
    - On va la réveiller!
    
    Le gitan qui semble ne pas avoir dormi, revient avec un seau d'eau. Il lui jette et l'effet est immédiat. Isabelle se retrouve à poil, toute mouillée devant sa fille. On la relève.
    
    - Allez, au lavage, salope! T'as intérêt à te faire bonne sinon on t'attache avec nos amis à poils!
    
    A cette phrase et devant les rires, elle se souvient et se cache les yeux : les chiens! Elle marche vers la maison et Lysa est sommée d'apporter des restes de boissons. Elle se fait peloter au passage bien sûr. Elle est vraiment sexy avec sa mini-jupe et son cul rebondi, rien avoir avec celui d'Isabelle, marqué par le temps et les grossesses. Lysa se laisse tripoter, ses jambes fines, ses petits seins ronds, son ventre plat avec son piercing sur le nombril. Le métis semble avoir des vues sur elle à nouveau et la ceinture comme s'il était jaloux. Il lui roule une pelle en lui pelotant les fesses.
    
    Au bout de trois quarts d'heure ma mère ressort à son tour sous les sifflets, les rires ...
    ... et les applaudissements accompagnés de quolibets. Lysa se masque les yeux, choquée : voir sa mère habillée ainsi et pire encore car les gaillards ont fouillé dans les affaires de Lysa. Les sandales talons haut, ce sont les siennes. Ma mère a réussi miraculeusement à refermer le bouton de la mini-jupe en cuir noir. Jamais Lysa ne l'avait portée encore car elle la trouvait trop vulgaire.
    
    D'ailleurs, ma mère doit souffrir énormément car son cul est pressé dedans et son ventre ressort même un peu. C'est une catastrophe car elle a une grosse paire de fesses et des cuisses un peu forte. Cette mini-jupe la rend vulgaire, sans classe, à la limite du ridicule : Une femme de son âge porter ce genre de vêtement! Isabelle a mis un débardeur noir à fine bretelle et un motif de rose blanc, avec un décolleté monstrueux. Ses seins nus à l'intérieur ne sont pas retenus car elle ne porte pas de soutien-gorge. Ses gros seins se baladent librement. Le visage maquillé à outrance de ma mère est inexpressif, résigné. Les hommes ont fait d'elle leur chose, leur jouet de chair, leur pute.
    
    A ce moment, le coup de téléphone rituel de mon père qui prend des nouvelles sur l'avancement des travaux. Ma mère répond avec tout le calme qu'il faut. A quoi bon risquer de tout dire à son mari, a quoi bon risquer une humiliation encore pire : révéler son calvaire et que tout le monde sache pour son viol, celui de sa fille, les chiens etc... Peut-être que si elle est coopérative, ils se lasseront et la ...