1. Cauchemar à la villa de campagne 04


    Datte: 25/06/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... sont lapés et les coups de langues du Rottweiller sont si puissants que même son gros sein est soulevé. A tout moment, on a l'impression que le molosse va lui gober son nichon tant il est excité mais il n'en est rien. Bien que le sein de ma mère ait l'aspect d'un énorme bout de chair qu'il lèche, seul la chantilly l'intéresse.
    
    J'entends légèrement les bruits que font les langues. Ma mère commence à gémir à cause des stimulations. La langue dans sa chatte la fait mouiller et le chien lape la cyprine mélangée à la chantilly. Les gros coups de langue sur ses nichons lui font redresser subitement les tétons au milieu des auréoles marrons. Bien qu'elle tente de repousser le plaisir, elle ne peut y échapper. Il rajoute une couche de chantilly car la scène l'excite trop.
    
    - Regardez! une chienne pour mes chiens!
    
    Les mots sont durs, très hard et sans pitié. Les trois molosses sont sur son corps, en train de la lécher, de la souiller de leur salive. Mais ça ne suffit pas au gitan et sans qu'il dise un mot, les gars qui la retenait au sol la redresse comme une poupée de chiffon.
    
    - A quatre pattes maintenant!
    
    Ses gros seins pendent. Son dos cambré offre les deux grosses fesses et bien sûr sa chatte. Un berger bâtard est passé en dessous elle pour lécher la chantilly qui dégouline de ses grosses mamelles ballottantes. Le Rottweiller lui sent l'anus et la chatte. Le gitan met le reste de la bombe. Il lèche, renifle et instinctivement lui grimpe dessus. Je n'ose plus ...
    ... regarder la scène car elle me dégoûte. Ma propre mère est baisée par des chiens. J'entends maman hurler de honte, elle, la pharmacienne, la bourge, la mère de famille, traitée aussi bassement, humiliée de cette façon. Les rires et les encouragements sont si forts. Mais qui pourrait entendre un tel vacarme dans cet endroit perdu. Ecœuré, je m'assois sur le canapé et m'endort suite aux effets de l'alcool.
    
    Le lendemain, vers midi, je me réveille. La maison est sens dessus dessous. Il y a encore plus de personnes que je croyais. Certains cuvent, d'autres se promènent ou boivent encore. Ils se sont appropriés les lieux. Dehors, j'entends un bruit : Le véhicule revient avec le métis accompagné de trois autres gars. Ma sœur Lysa est à l'arrière entre deux hommes. Elle sort en même temps qu'eux, libre de ses mouvements à mon grand étonnement.
    
    - Maman! Maman!
    
    Mais c'est vrai? Où est ma mère?
    
    Elle rentre dans la maison et me regarde à peine. Elle file droit à la chambre mais rien. Elle fouille la maison mais rien non plus. Dehors, des rires. Je comprends. Un attroupement autour d'un corps nu. Lysa se précipite et identifie aussitôt ma mère. Elle ronfle, nue et allongée sur le ventre, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte. A moitié rassurée, Lysa se doute bien de ce qu'elle a dû subir toute la nuit. Elle-même est passée par là et, durant la soirée, a servi de pute au métis et à ses trois amis rencontrés plus tard, après la boite de nuit. Elle voit sa propre mère, nue, les ...