Les Caves de Cureghem
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
fh,
couple,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
sm,
lettre,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... l’écart :
— Tu vois que tu as des dispositions, Ininna.
— Euh… c’est-à-dire ?
— Je faisais allusion à notre discussion durant le repas.
Puis sans prévenir, il m’embrasse, me plaquant contre lui. J’adore ce genre de démonstration de sa part. J’aime quand il me désire, quand il me le prouve. Nous ne sommes pas ensemble depuis toutes ces années pour rien. Mais je reconnais que le baiser de Marine m’a troublée plus que de raison. Je me pose des questions, mais pour l’instant je me laisse désirer par mon mari et Maître. Chaque chose en son temps…
Nous reprenons nos déambulations sous les voûtes rouges. Nous croisons plein de couples ou de groupes, nous nous mêlons parfois quelques minutes à eux pour explorer ce salon dans lequel je m’amuse follement. Finalement, j’ai bien fait de venir et d’oser. Et surtout, mon Maître a bien fait de me pousser un petit peu…
Parfois, je dois ôter mes chaussures et marcher un peu pieds nus, car je ne suis pas très habituée aux très hauts talons sur une si longue durée. Souvent, je dois boire – car il fait très chaud dans ces caves – on pourrait sans problème être nu ; d’ailleurs, Marine l’est quasiment, et elle s’en porte très bien ! Nous avons d’ailleurs croisé d’autres femmes encore plus dévêtues qu’elle, c’est dire ! Et aussi deux hommes pas très habillés, eux aussi. Je reconnais les avoir bien zieutés car ils n’étaient pas mal de leur personne. J’ai même fait quelques photos assez… comment dire… sensuelles avec l’un d’eux.
— ...
... Eh bien, Ininna, tu y as été de bon cœur avec ce chippendale !
— Oh, j’ai juste fait quelques photos…
— Oui, oui, quelques photos, avec tes mains qui traînaient un peu partout sur lui… J’ai bien vu que tu lui avais mis la main aux fesses, petite vicieuse !
Sourire aux lèvres, je proteste faussement :
— Moi, j’aurais osé faire ça ?
— Remarque, j’ai fait pareil ! Par contre, contrairement à toi, je n’ai pas pensé à lui soupeser le paquet comme tu l’as fait.
— Ah bon ? Moi, j’aurais osé faire ça ?
— Nos Maîtres ne l’ont peut-être pas vu, mais quand vous étiez tous les deux derrière la colonne, moi, j’ai bien vu ce que tu as fait, ma chérie !
Et sous l’œil étonné de nos Maîtres qui n’ont visiblement rien entendu de nos propos, nous nous esclaffons. Oh oui, je pourrais en raconter ; il faudra d’ailleurs que je consigne tout ça par écrit, un beau jour. Néanmoins, au bout de quelques heures, Marine et moi commençons à fatiguer. Ça va faire quand même quelques heures que nous nous exhibons et que nous nous dépensons sans compter !
Vers deux heures du matin, je crois, nous sommes sortis du salon ; dehors, il faisait assez frais. Je me suis carrément endormie dans la voiture au bout de quelques kilomètres. Il faut dire qu’il y avait environ cent vingt kilomètres pour rentrerat home, et que j’étais fourbue. Je me souviens vaguement m’être réveillée pour sortir de la voiture, mais sans plus. Le lendemain, j’ai appris que c’est mon mari qui m’a carrément transportée dans ...