1. Les Caves de Cureghem


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, couple, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme sm, lettre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... toute nature car j’ai aussi rencontré des phénomènes, mais ce fut toujours bon enfant.
    
    Soudain, mon Maître glisse carrément la sangle de ma laisse en dessous de mes seins, sous mon espèce de bustier. Il explique :
    
    — Ce sera plus simple ainsi. Je sens que tu as envie de te laisser aller…
    — Merci, Maître…
    
    Plus le temps passe, plus je me délure. Finalement, c’est simple de se laisser aller, surtout quand on est accompagnée ! Il faut dire que ma consœur n’est pas en reste et qu’elle en connaît un sacré rayon sur le laisser-aller. Elle s’amuse souvent à exciter son petit monde. Moi au début, je n’osais pas trop, et puis Marine m’a prise par la main, et petit à petit je me suis prise au jeu.
    
    C’est ainsi que nous, les soumises, nous posons sur des stands en train de faire joujou avec divers accessoires, dans des cages, à quatre pattes, sur des chaises, la chatte largement offerte, à califourchon sur une sorte de tréteau issu de l’Inquisition, et aussi sur des croix de Saint-André. Certains hommes et aussi des femmes nous demandent s’ils ou elles peuvent toucher. Marine dit systématiquement oui ; quant à moi, j’étais un peu réticente au début, puis j’ai accepté, et finalement, ça me plaît beaucoup.
    
    Décidément, je me découvre être une autre femme…
    
    Il commence à se faire tard et mon estomac réclame. Être nourrie par le désir et la convoitise, c’est bien, mais un simplehot-dog, c’est mieux ! Nous nous approchons du coin restauration du salon. À ma grande surprise, ...
    ... les tarifs sont raisonnables, et un rapide coup d’œil sur les tables avoisinantes m’indique que les rations dans les assiettes ne sont pas rikiki.
    
    Nous nous installons, et aussitôt, une soubrette nous apporte les menus. Elle possède un beau costume ; je ne parlerai pas de son décolleté. Il faudra que je demande à mon Maître la même tenue. J’entends alors la voix de mon mari retentir :
    
    — Je parie que tu veux la même…
    — Comment t’as… euh, comment vous avez deviné, Maître ?
    — Simplement ton regard de convoitise…
    
    Avec un sourire un peu pervers, je réponds :
    
    — Ç’aurait pu être un regard de convoitise sur la jeune femme.
    — C’est vrai, mais te connaissant, je n’y croyais pas trop !
    — Ah bon ? Qu’en savez-vous, Maître ?
    — Maintenant, tu aurais des inclinations bi ? C’est nouveau…
    — Peut-être que oui… ou peut-être que non…
    
    Mon Maître répond placidement :
    
    — On le saura tôt ou tard…
    
    Je n’aime pas trop quand il répond de la sorte : ça signifie souvent qu’il vient d’avoir une idée derrière la tête. Nos repas arrivent peu après. Ce n’est pas de la grande cuisine, mais ça se laisse agréablement manger, surtout dans ce décor voûté, aux briques rouges patinées et aux joints blancs granuleux. Ça me plairait bien d’avoir ce genre de cave sous ma maison ! Je me plais à imaginer tout ce qu’on pourrait s’amuser à faire dans pareil lieu…
    
    Une fois nos estomacs repus, nous recommençons nos réjouissances dans les couloirs et les stands. Il y aurait beaucoup à raconter, mais ...
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