1. Les Caves de Cureghem


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, couple, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme sm, lettre, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... son sac. Je constate que cette laisse se termine par un anneau métallique auquel sont accrochées deux pinces munies de molettes. Je comprends tout de suite l’utilité quand mon Maître s’accroupit devant moi et attache posément une première pince à une de mes lèvres intimes. Puis il fixe la seconde. Ensuite, il règle les molettes de pression afin que l’ensemble tienne et qu’il ne se détache pas impunément de mon sexe. Durant tout ce temps, un petit attroupement se fait autour de nous. Puis il se relève, contemplant son œuvre :
    
    — Très bien. Continuons notre promenade.
    — Bien, Maître.
    
    Précédée par mon Maître qui se met sur le côté afin que tous puissent voir, je déambule, ma robe largement ouverte par-devant révélant sans complexe mon pubis ainsi que la laisse attachée à mon sexe. Telle une petite chienne, je suis baladée dans les couloirs sous le regard attentif, amusé ou étonné des personnes que nous croisons. Ça me fait tout drôle, mais j’aime cette sensation d’être au final un objet, un bibelot qu’on exhibe.
    
    Mon maître m’avouera par la suite que c’est à cet instant précis qu’il aura l’idée de me faire porter des anneaux à cet endroit intime. Une initiative qui nous procurera, à lui comme à moi, bien des satisfactions… mais j’anticipe…
    
    Quelques mètres plus loin, Maître Bergen se penche vers son confrère :
    
    — Pas mal du tout, cette idée… dommage que je n’y aie pas songé…
    — J’ai une seconde laisse dans mon sac, cher Bergen. Si ça vous dit…
    — Vous pensez à ...
    ... tout ! Je prends !
    
    Puis c’est au tour de Marine de se voir attacher la chatte par une laisse. Même attroupement autour d’elle que pour moi ; néanmoins je devine vite que son Maître a serré les pinces sur les lèvres nettement plus que le mien. À présent, c’est main dans la main que nous, les soumises, nous nous promenons dans les couloirs du salon aux larges voûtes en brique. À notre façon, nous mettons de l’animation. Nous croisons ci et là d’autres personnes qui s’amusent comme nous, dont une jeune femme qui, voyant comment nous sommes habillées, décide d’ôter carrément son petit top moulant sous l’œil à la fois effaré et intéressé de son compagnon, et pour la plus grande satisfaction de la plupart des mâles présents qui ne se gênent pas pour la mitrailler aussitôt avec leur appareil photo ou leur caméra.
    
    En parlant de ça, Monsieur Jacques, je me suis demandé à diverses reprises si nous n’étions pas au salon de la photo, car vu le nombre de personnes qui se baladent avec du matos de pro, on peut se poser la question !
    
    Nous nous éloignons de cette jeune femmetopless qui connaît son quart d’heure de célébrité, comme le disait Andy Warhol. Qu’elle en profite ! Et je pense que, vu son tempérament et son physique, elle aura d’autres quarts d’heure de célébrité dans sa vie !
    
    Nous batifolons dans les couloirs, dans les stands. Nous bavardons avec plein de personnes de tous âges, de toute nature et, croyez-moi, Monsieur Jacques, quand je dis de toute nature, c’est bien de ...
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