1. La bourgeoisie et ses lubies (1)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: Mr.523, Source: Xstory

    ... preuve. Une seule condition ; énorme discrétion, pas un mot, nous dit-il en se retournant avec un regard dur et sérieux, pointant son doigt sur les lèvres.
    
    — OK, ça marche, promis.
    
    Nous sortîmes du parking en avançant dans l’allée sinueuse. Il y avait une petite maison, probablement de deux-trois pièces, agencées spécialement pour l’utilité du lieu (une salle de soin, une de toilettage et l’accueil). Au fond du terrain, éclairées par deux petites lampes, on pouvait voir des cages grillagées en grande quantité, d’où s’élevaient sporadiquement les hurlements de chiens.
    
    Puis nous entrâmes dans l’espace qui servait d’accueil, où nous attendait un autre ami avec quelques bières fraîches, que nous n’avions pas tardé à enquiller.
    
    Moins d’une demi-heure après, on entendit une voiture dans l’allée, Gustave interpella ses collègues ; « allez c’est parti !! »
    
    Ils se mirent à bouger dans tous les sens, mais de manière parfaitement ordonnée, chacun savait ce qu’il avait à faire, probablement grâce aux expériences antécédentes. Gustave nous fit « chut » de la main, puis fit signe de le suivre.
    
    Nous avions marché le long d’un sombre chemin, puis nous sommes entrés dans une sorte de grand parc pour chien, grillagé autour, quelques jeux épars et un vieux spot jaune qui éclairait un coin discret du lieu
    
    J’étais totalement effrayée, entre l’obscurité de la nuit, le silence, et parfois quelques hurlements de chien. On aurait dit une scène de mauvais film d’horreur. Je me ...
    ... suis agrippée au bras de mon homme. Qu’est-ce qui nous attend ? Dans quoi on s’est lancé ? Autant de questions qui trottaient dans ma tête.
    
    Gustave installa un grand drap blanc sur le sol. Au loin, nous voyons un collègue accueillir deux personnes qui sortaient d’une voiture de luxe. Plus les ombres s’approchaient, plus on pouvait les distinguer. C’était un couple magnifique et visiblement très riche. L’homme presque la soixantaine, les cheveux gris blancs, plaqués en arrière, chemise beige aux manches repliées, pantalon en lin blanc, mocassins, il tenait quelque chose sous le bras. La femme d’une quarantaine d’années, belle femme, fine et grande, blonde, avec un visage un peu sévère. Elle portait uniquement un gros vison clair, cintré, de marque, et sous le bras un sac qui, à lui seul, m’aurait permis de payer mes 3 prochaines années d’études.
    
    Ils s’arrêtèrent en nous voyant, Gustave les réconforta « ils sont cool, ne vous inquiétez pas ». Puis, ils nous saluèrent poliment. Nous avions échangé un peu. La femme était, à notre grande surprise, vraiment sympa et ouverte. Pendant ce temps, l’homme installait la petite caméra sur trépied qu’il avait ramené sous le bras.
    
    — Tu es prête chérie ?
    
    — Comme jamais poussin, lui répondit-elle, excitée.
    
    — OK, la caméra est prête, on peut commencer.
    
    On se douta rapidement ce qui se tramait devant nous, néanmoins on ne veut pas vraiment le croire, comme si le cerveau bloquait cette information impossible à concevoir par notre ...