1. La bourgeoisie et ses lubies (1)


    Datte: 24/06/2018, Catégories: Zoophilie, Auteur: Mr.523, Source: Xstory

    Confidence d’une amie
    
    J’ai toujours été fluette, d’un teint pâle, plate comme une planche à pain, mais un joli petit cul arrondi.
    
    Avec mon mec, nous étions vraiment « débridés » et « aventureux » d’un point de vue sexuel.
    
    Il me prenait littéralement quand il voulait ; pendant mon sommeil, au réveil, en levrette sur la table pendant ma pause céréale, pour le sucer devant la Play, assis, debout, par terre. Enfin bref, j’étais sa chose, son esclave sexuelle sans vergogne, et ça m’excitait beaucoup.
    
    A 21 ans, j’avais déjà assouvi la plupart de mes fantasmes, il me suffisait de lui en parler.
    
    Une fois, nous en avions même réalisé deux en même temps ; le faire sur la plage et en trio avec son pote black.
    
    Avec son accord, j’ai sucé la grosse bite de son pote pendant qu’il me laminait le cul, allongé sur le côté. Ils m’ont remplie de foutre, c’était trop bien !!
    
    Chaque jour, nous repoussions nos limites sexuelles sans encombre et avec beaucoup de créativité.
    
    Jusqu’à ce jour, ou plutôt cette soirée, au cours de laquelle nous avions parlé à son ami (que j’appellerai Gustave, pour aucune raison bien valable).
    
    Il avait une assez large carrure, des habits amples, des cheveux longs, bouclés et bizarrement attachés, c’était un bon ami d’enfance de mon mec, que nous avions déjà croisé plus d’une fois en soirée.
    
    Nous avions picolé et parlé de sexe, comme toujours. Ce soir-là, il nous a laissé sur place (ce n’est pas le terme qu’elle a utilisé) lorsqu’il nous a ...
    ... avoué que le sexe avec nos amis les chiens était bien plus d’actualité et répandu que nous ne pouvions l’imaginer. Il connaît parfaitement ces bêtes, il travaille dans un chenil.
    
    Impossible de le croire -qui pourrait faire ça ?-
    
    Quelques semaines plus tard, Gustave s’était lassé d’entendre mon homme lui dire que c’était un mytho. Alors il nous a proposé, si nous avions suffisamment de courage, de venir constater par nous-mêmes...
    
    Je me souviens en avoir beaucoup ri, puis finalement, on s’est dit - pourquoi pas ? -, après tout, c’est juste pour regarder, vérifier, alors nous avions accepté l’invitation.
    
    Moins de dix jours plus tard, il nous recontacta pour nous donner les précisions suivantes ; vendredi, 23h30, au Chenil de St-Laurent.
    
    Nous étions tellement excités, qu’on a baisé une demi-heure sur le sol avant d’y aller.
    
    Ensuite, j’ai enfilé une robe noire une pièce qui s’arrête au milieu des cuisses, elle me donne un air un peu pute, mais j’aime bien ça pour nos soirées, et mon petit string rouge au cas où les choses s’emballeraient. Mon petit corps chétif était bien emballé ainsi.
    
    Le Chenil se situait à 2 kilomètres de la départementale, au bord d’une petite forêt, à notre arrivée, les chiens aboyaient dans un sacré vacarme, qui s’était rapidement estompé.
    
    Gustave nous accueillit.
    
    — Ah !! vous êtes venus c’est bien, vous ne serez pas déçus.
    
    — Pourquoi choisir cet endroit pour la soirée ? lança mon mec.
    
    — Vous verrez, ce soir, c’est soir de ...
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