Alice se venge
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
humilié(e),
vengeance,
Oral
double,
fsodo,
Partouze / Groupe
zoo,
pastiche,
délire,
Humour
Auteur: Jakin, Source: Revebebe
... tentative pour résister lorsqu’elle le poussa manu militari vers la porte. Il resta sur le palier un long moment, hébété, le pantalon à mi-cuisses, sous les quolibets de Mélissa :
— Handicapé de la queue ! Infirme !
Alice en profita pour s’esquiver discrètement ; sa vengeance était consommée.
— oooOOooo —
La jeune blonde, toujours nue sous sa robe d’été, remontait la rue du Paradis ; elle tenait à remercier les occupants du 17, mais elle ne savait pas ce qui leur ferait plaisir. Des carottes pour le lapin ? Un pâté truffé pour le chat ? Elle aurait le temps de voir plus tard. Alice était venue les mains vides, voulant, dans un premier temps, partager sa joie avec ceux qui lui avaient fourni les moyens de se venger.
Le lapin blanc – toujours affublé de sa redingote – l’introduisit dans un salon et la fit asseoir sur le canapé, à côté du gros chat souriant.
— Eh bien, jeune fille, que désirez-vous encore ?
— Je suis venue vous remercier ; grâce à vous, j’ai obtenu une vengeance au-delà de toutes mes espérances. Je ne sais comment vous remercier…
— Nous remercier, jeune fille ? Il y a bien un moyen… Faites demi-tour, mettez-vous à genoux et relevez votre robe sur vos reins pour nous dévoiler le joli petit cul que je devine.
Alice fut sur le point de s’offusquer de cette demande, mais elle se remémora pourquoi elle était venue.« Bah, si ce sont des voyeurs, autant les satisfaire. » Elle se mit dans la position demandée et attendit.
Son attente ne fut ...
... pas bien longue. Elle sentit son vagin investi ; elle tourna la tête pour voir qui l’avait prise sans le moindre préliminaire : c’était le gros lapin blanc. Quelques mouvements rapides – pas plus de deux secondes – un bref cri, et il effectua une galipette en arrière, retombant de dos sur le parquet. Il se releva presque aussitôt et revint à la charge entre les cuisses d’Alice. Là aussi, le coït ne dura pas plus longtemps que le précédent.
— Mais enfin, Monsieur Lapin, vous ne pouvez pas aller moins vite ?
— C’est que je suis pressé, jeune humaine : je suis en retard, en retard !
— Mes amis, j’ai peut-être une solution…
La voix qui venait de s’élever provenait d’une énorme chenille bleue dont la taille avoisinait le mètre. Installée au sommet d’un champignon, elle fumait placidement un narghileh qui répandait un parfum rappelant à Alice celui qu’elle sentait souvent chez son grand-père.
La chenille vint se placer sur le dos de la jeune fille.
— Toi, le lapin, tu vas caresser les seins de la jeune humaine avec tes oreilles. Quant à toi, le chat, tu vas lui lécher – quoi de plus normal ? – la chatte.
Les deux comparses prirent place selon les indications de la chenille. Lorsqu’ils entrèrent en action, Alice ne put retenir des gémissements de plaisir. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle fut stupéfaite de voir une langue qui semblait sortir de nulle part s’affairer entre ses cuisses. Son désir d’être pénétrée se faisait de plus en plus pressant…
Soudain, elle ...