1. Alice se venge


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, jeunes, bizarre, humilié(e), vengeance, Oral double, fsodo, Partouze / Groupe zoo, pastiche, délire, Humour Auteur: Jakin, Source: Revebebe

    Un petit texte un peu déjanté et sans prétentions, juste pour le fun, librement inspiré de Lewis Carroll.Je vous assure n’avoir fumé que des Malboro, et rien d’autre…
    
    — oooOOooo —
    
    Alice marchait d’un pas assuré, indifférente aux regards des passants. Elle savait qu’elle était belle, bien sûr, mais là, elle s’en fichait. Elle était perdue dans ses pensées, indifférente à son environnement.
    
    Elle venait d’avoir 18 ans, et son bac en poche, devait aller en fac de lettres fin septembre. Blonde aux cheveux mi-longs un peu rebelles, yeux verts, quelques taches de rousseur jusque sur son nez joliment retroussé, elle avait un corps de rêve bien entretenu par la danse et la natation qu’elle pratiquait assidûment ; d’une taille moyenne, elle avait de beaux seins bien fermes qui roulaient au rythme de ses pas, libres de toute entrave sous le fin tissu de sa robe. La chaleur presque étouffante qui régnait sur Paris en cette fin juillet lui faisait regretter de ne pas pouvoir rejoindre une plage.
    
    Alice venait de se faire épiler intégralement pour les beaux yeux de son amant Jonathan, et ne portait pas de petite culotte sous sa courte robe d’été à bretelles. En fait, elle était nue dessous, et ça la perturbait un peu. Mais pas autant que les SMS qu’elle venait de recevoir, de source inconnue :
    
    Les larmes aux yeux, Alice avait vu Jonathan embrasser Mélissa, sa copine d’enfance. Son cœur s’était brisé devant cette double trahison.
    
    Alice essaya d’envoyer un message pour ...
    ... demander des explications, mais elle n’obtint que cette réponse : « Message non délivré. »
    
    Ses pas l’avaient amenée rue du Paradis. Elle s’arrêta en face de la porte du 17, une simple porte en bois peinte en vert. Les volets étaient tous fermés, mais une fenêtre devait être restée ouverte car une étrange mélopée lui parvenait, chantée par une voix acide au ton légèrement agressif :
    
    Alice reconnut sans peine la voix de Grace Slick, la chanteuse du Jefferson Airplane, ce groupe de la West Coast que son grand-père lui faisait parfois écouter lorsqu’elle lui rendait visite, tout comme elle venait de le faire aujourd’hui même. Ce vieux hippie n’était jamais sorti de son trip chatoyant dû aux hallucinogènes consommés en trop grandes quantités, et il passait ses journées et ses nuits à écouter son impressionnante collection de disques vinyle.
    
    Oui, c’était bien « White Rabbit ». Étrange… pensa-t-elle ; serait-ce un présage ?
    
    Lorsqu’elle s’approcha de la porte, celle-ci s’ouvrit toute seule ; elle hésita un peu, puis franchit le seuil. Un claquement derrière elle : la porte s’était refermée, mue par une main invisible. Alice se trouvait à l’extrémité d’un long corridor sombre.
    
    Elle distingua un mouvement ; une forme se rapprochait… La jeune fille fut stupéfaite lorsqu’elle se retrouva nez-à-nez avec un lapin blanc aussi haut qu’elle ; l’animal aux yeux roses était vêtu d’une redingote dont il tira une grosse montre à gousset. Il la consulta et s’exclama :
    
    — Vous êtes bien ...
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