1. Poker suédois à Londres


    Datte: 23/06/2018, Catégories: fhh, fhhh, Collègues / Travail grossexe, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Partouze / Groupe Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    ... textes de poker Rêvebébé remontèrent en flèche dans mon esprit. Moi qui n’avais pas vu d’hommes dans ma vie intime depuis des années, voilà que j’en avais trois pour moi. Et trois de la plus belle espèce. J’étais tellement surprise et fière de moi.
    
    Mes petits poignets masturbèrent ces deux sexes dans de superbes et très longs allers et retours. Leurs queues étaient si grandes et dures ! En même temps, ma gorge s’enfonçait profondément dans la queue gigantesque qui me faisait face. Cela fonctionnait si bien qu’ils alternèrent à tour de rôle la position centrale. J’entendais leur rire comme dans un vague écho et sentait mon cœur battre à fond dans mon crâne. Je ne sais quelle folie me fit accélérer encore plus vite ces mouvements, mais l’un deux éjacula au plus profond de ma gorge et me maintint dans cette position. Ma petite bouche se remplit de sperme et je ne pouvais plus respirer. Quand enfin il sortit de ma gorge, j’eus du mal à reprendre ma respiration et du sperme mélangé à ma salive coulait un peu partout sur mon menton.
    
    Cette vision, visiblement, en excita un plus que les autres. Il m’obligea à me lever, à appuyer mes mains sur le canapé et ouvrir mes cuisses. Il écarta sans ménagement mes petites fesses pour guider son gland à entrer lentement en moi, me laissant apprécier la taille de son énorme engin. Je n’avais jamais été prise en levrette debout. Ses mains s’étaient emparées de mes seins et ses allées et venues prirent une vitesse démoniaque. Je n’étais ...
    ... qu’une poupée sous les coups de ce géant blond. Quand ses mains prirent appui sur mes hanches, il accéléra la cadence en me soulevant à chaque butée. Ses bourses venaient frapper mon petit cul dans un bruit sec de claquement de fessée. Son sexe était si large, les sensations étaient incroyables. Rapidement je ne fus plus qu’un spasme, dévorée par mon orgasme si longtemps retenu.
    
    J’avais les jambes cassées pas la violence de mon plaisir. Le troisième gaillard m’enveloppa dans ses bras comme un chevalier servant. Il m’allongea sur la table de poker et mit mes pieds sur ses énormes et larges épaules. Jambes écartées et indécente sous ses yeux, mon sexe était encore en spasmes quand il entra en moi sans ménagement. Était-ce cette animalité pure, ou les mots qu’il prononça en suédois et que je ne comprenais pas ? En tout cas, tout n’était plus que folie, râlement, halètements, cris, corps tendu, respiration coupée. Son rythme était lent et terriblement régulier avec la force d’un bûcheron. J’étais la poupée que j’avais tant rêvé d’être. La petite salope de ces trois hommes. Mon sexe qui me faisait très mal quand il m’avait prise au début n’était plus qu’une vague de plaisir.
    
    Mon dernier souvenir fut l’ombre de ces hommes en train d’éjaculer sur moi. Je sentais les rasades de sperme chaud qui coulait sur mon ventre, mes seins.
    
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    Tous ces souvenirs diffus s’éteignirent en une milliseconde. Je n’avais jamais été capable de me rappeler de mes rêves. Et tout ce que je ...