1. Poker suédois à Londres


    Datte: 23/06/2018, Catégories: fhh, fhhh, Collègues / Travail grossexe, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral Partouze / Groupe Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe

    Mon premier récit, inventé pour vous, est une petite fable portant le n°18717. J’ai ensuite écrit une histoire romancée sur le copain de ma sœur, n°18751. Voici donc une troisième histoire écrite toute seule. Tous mes textes sont inspirés de faits réels et de qui je suis tant mentalement que physiquement. Sauf que dans la vraie vie, ces histoires ne se sont jamais aussi bien finies que cela. Je vous invite aussi à lire des textes où je me dévoile par petites touches dans des confessions intimes18676,18739 et18768. Je vous recommande de les lire dans cet ordre pour mieux suivre le fil de mon évolution.
    
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    Nous étions à Londres avec ma collègue pour une formation sur un nouveau logiciel de comptabilité. Elle a à peu près mon âge et s’était mariée avec son premier petit ami. Ils avaient un enfant et je la savais malheureuse en ménage. Elle hésitait à faire un second gamin avec lui et pensait à se séparer. Nous sommes restées quatre nuits sur place. Tous les soirs, le fournisseur nous invitait à dîner dans un restaurant différent. Une fois rentrées nous restions au pub de l’hôtel situé au rez-de-chaussée, pour discuter de la journée et nous détendre un peu.
    
    La réputation des Françaises étant ce qu’elle est, nous avons été sollicitées une fois notre nationalité connue. Enfin, ma collègue et non moi. Il faut dire que ses décolletés affriolants étaient une invitation à venir lui parler. Moi, je passe depuis longtemps un peu inaperçue de tout le monde. Le premier ...
    ... soir, ma collègue avait un peu craqué sur un beau Suédois, joueur d’une équipe de volley, en stage sur Londres la semaine. Ils portaient tous les mêmes joggings et devaient être une vingtaine. On les reconnaissait de loin dans le pub, ils étaient tous grands et blonds. Celui qui plaisait à ma collègue avait une cicatrice sur le sourcil.
    
    Ce petit jeu de séduction dura les trois premiers soirs et je sentais bien qu’elle était prête à craquer. Elle se confiait à moi dans la chambre que nous partagions. Le bar ferma vers minuit et quelques collègues à lui allèrent jouer au poker dans une chambre. Quand je la vis embrasser le blond à la cicatrice, je compris qu’elle avait cédé à la tentation. En plus, elle l’avait embrassé avec une grande avidité, presque choquante. Elle avait fait abstraction du monde autour et se collait à lui de façon obscène. Plus précisément, elle se frottait à lui de façon indécente. Elle avait un regard chargé d’envie à un tel point qu’elle me fit peur. Elle aurait au moins pu attendre d’être dans la chambre…
    
    Ceci dit, moi non plus je n’aurais pas dit non à sa place, si j’avais eu cette chance. Comme lui aussi partageait sa chambre avec un collègue, elle me demanda d’aller jouer au poker avec eux et de leur laisser la chambre un moment. Je ne demandai pas plus de détail et suivit le groupe, imaginant avec force jalousie ce qu’ils allaient bien pouvoir faire dans notre chambre. Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentis aussi terriblement excitée d’être ...
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