Ma cousine Lucie
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
vacances,
douche,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
journal,
Auteur: Armitage, Source: Revebebe
... caressa. Une délicieuse caresse qui embrasa mon ventre, j’allais jouir, c’est sûr. Tout en lui éjaculant dans la bouche, Lucie continuait à me sucer, elle m’avalait au point que son nez touchait mon ventre. Fermant les yeux, je m’abandonne dans la bouche accueillante de ma cousine. Je voulais rester dans sa bouche, tellement le plaisir irradiait mon corps.
Lucie se leva puis m’embrassa sur la bouche, sa langue chercha la mienne, elle prit la situation en main, je me laissai guider. Lucie s’allongea sur le carrelage de la salle de bain, en m’attirant à elle, tout en guidant ma tête vers son bas-ventre. À genoux entre ses cuisses, je pétrissais maladroitement ses seins, je gobai même l’un de ses tétons pour le mordiller entre mes dents, Lucie bougea, sa respiration était plus forte. Ma main s’enhardit vers son entre jambe, je la plaquai sur sa vulve et laissai mes doigts courir le long de la fente des grandes lèvres. C’était doux et soyeux. Tout en haut des lèvres, je découvris un petit bouton que je sentais grossir sous mon doigt et Lucie se tortilla comme un ver en gémissant.
Je n’en revenais pas, elle devait avoir le même plaisir que j’avais eu quand elle me suçait, son ventre telle une vague ondulait sous la caresse de mon doigt. Je fis pénétrer un doigt dans son vagin entrouvert, c’était chaud et humide et je me mis à faire danser mon doigt dans son ventre, pour en enfiler un autre. Lucie prit ma tête entre ses mains, elle voulait que je la suce à mon tour, je ne ...
... pouvais pas me défiler au risque de passer pour un morveux. Ma langue glissa le long de la fente de ses lèvres, elle était toute mouillée d’un jus visqueux, mais agréable au goût, ma langue titilla son petit bouton et là ce fut le déluge. Lucie banda les muscles de son ventre et je sentis dans ma bouche couler un liquide plus abondant, je la léchais comme un petit chien lape son lait. Lucie, si discrète d’habitude, se livra à moi dans un long gémissement de bonheur et je bus aux lèvres de son entrecuisse.
Cet intermède m’avait redonné des forces, ma verge avait de nouveau une belle taille, je me disais que vu l’état de Lucie je pourrais en profiter pour m’introduire en elle. Elle m’attira entre ses jambes, saisit mon sexe pour le guider jusqu’à l’entrée de son vagin, je m’y enfouis de toute ma longueur. C’était encore plus doux que sa bouche, j’eus l’impression que des milliers de bouches me suçaient. Je voulais m’enfoncer encore plus en elle, j’écartai ses cuisses au maximum comme un compas et je fis quelques va-et-vient. Je sentais la peau de mon prépuce totalement décalotté, frotter sur ses parois intimes, je ne puis durer bien longtemps que déjà je sentais en moi la même impression de plaisir venir. Ma verge gonfla d’un seul coup et Lucie me murmura à l’oreille un « pas encore » que je ne compris pas, elle ondula du bassin pour me stopper et je calmai mes va-et-vient. Mais le plaisir ne demandait qu’à jaillir de ma verge, je le savais et je voulais jouir, mais Lucie ...