Ma cousine Lucie
Datte: 27/01/2018,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
vacances,
douche,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
init,
journal,
Auteur: Armitage, Source: Revebebe
... dormir, même après avoir bu pour la première fois de ma vie, une coupe de champagne. Je m’imaginais Lucie nue, dans son lit, un fantasme de potache et je sombrais dans un sommeil agité. J’avais néanmoins dû m’assoupir quand j’ai entendu du bruit dans la salle de bain. Je me levai comme un diable sortant de sa boîte pour me diriger vers la lumière, la maison dormait, trois heures et demie du matin venaient de sonner à la grande Comtoise du salon.
J’entrebâillai la porte de la salle de bain et je vis Lucie de dos, nue. Impossible de détacher mon regard, ma cousine m’offrait ses fesses, je pouvais voir son sexe et même son anus, elle se brossait les dents, penchée sur le lavabo. Quel spectacle, je m’en souviens encore, même l’âge n’a pas affecté sa plastique à ce jour, nous nous revoyons à l’occasion de fêtes diverses.
J’ai senti en moi un bouleversement, plus précisément dans mon bas-ventre, ma verge avait pris une taille que je ne lui connaissais pas et formait une bosse avec mon slip. Puis, ce fut une vision extraordinaire, Lucie se retourna, le sixième sens féminin, je voyais ses deux seins et surtout son pubis couvert de poils blonds. J’ai toujours aimé voir le sexe des anges, c’est beau et discret en comparaison de la verge des hommes, qui ne laisse planer aucun doute sur notre état. Perdu dans mes pensées, je levai les yeux, Lucie me fixait, j’étais terrassé, je l’entendais déjà hurler comme une sirène d’alerte, réveillant toute la maison, j’allais passer un sale ...
... quart d’heure.
Mais non, le silence tonna à mes oreilles, Lucie me fixait, un doigt sur ses lèvres en signe de silence. Elle me fait signe d’avancer, mais impossible de faire un pas, elle dut me prendre par la main pour me faire entrer dans la salle de bain. Je voyais ses deux seins où émergeaient deux tétons dressés sur une aréole brune, son ventre plat ondulait lentement et je voyais aussi son sexe, tout près. Elle sentait bon le parfum du savon de la douche. Elle me fit asseoir sur le bord de la baignoire et retira mon slip, ma verge jaillit, elle esquissa un sourire, j’étais tétanisé. Je ne savais pas comment réagir face à cette situation, m’enfuir en courant ou me laisser faire, Lucie prit les devants.
D’une main douce, elle empoigna mon sexe et son autre main fila dessous pour caresser mes bourses en une délicieuse caresse. Ma verge enfla encore un peu, je voyais la main courir le long de ma hampe et de temps en temps la peau de mon prépuce décalottait un peu le gland. Son mouvement de main n’avait rien de comparable au mien, lors de ma masturbation, là, le Nirvana m’agrippa avec lui. À un moment, elle me fit mal, mon gland n’allait pas se décalotter comme ça, à chacun de ses va-et-vient, elle me décalottait un peu plus le gland, je ressentis une douleur, comme un coup d’aiguille dans le bas-ventre.
Puis la douleur s’estompa pour revenir plus violente, d’un coup, elle tira violemment sur la peau et mon gland apparu, sa bouche le fit disparaître et sa langue me ...