1. La fille à la tulipe rouge


    Datte: 23/06/2018, Catégories: f, fh, frousses, rousseurs, hotel, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, totalsexe, occasion, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    ... solitaire. Un plaisir qu’elle se donnait au moyen de la queue de la tulipe qu’elle avait glissé entre le haut de ses cuisses, à hauteur de son sexe…
    
    Je restais immobile, la paupière filtrant les images, l’esprit tout de suite en éveil et faisais un sérieux effort pour garder ma respiration calme. Mais elle semblait être dans son monde, dans son rêve, dans ses fantasmes.
    
    La corole rouge vif de la tulipe allait et venait au rythme d’un plaisir de plus en plus fort. Les fesses montaient de plus en plus vite et haut. De temps à autre, les pétales effleuraient la pointe d’un des seins et les fesses remontaient alors plus vite encore et plus hautes, la respiration se faisait plus haletante, plus forte. Elle devenait une sorte de chuintement. Et, immédiatement, la tige s’enfonçait plus loin entre les cuisses et redressait automatiquement la fleur et les fesses replongeaient aussitôt au ras du drap blanc… Puis le mouvement, que j’aurais aimé être perpétuel, reprenait. Gracieux, aérien, érotique et érotisant en diable… Je calquai ma respiration sur la sienne. Mon sexe dressé, je le sentis prêt à commettre toutes les folies matinales, inimaginables et plus si affinités…
    
    Le rythme allait crescendo… de plus en plus violent. Déjà un premier sépale se détacha et alla gésir sur un téton, couvrant pudiquement sa pointe dressée d’un faux et minuscule bonnet rouge… La tige, vert absinthe, écrasée par sa main nerveuse, laissait couler un jus qui mouillait ses doigts et filait entre ...
    ... ses cuisses.
    
    Puis un second sépale dans une chute planante vint atterrir vers son nombril avant de choir sur le drap… Et la main rejoignit promptement son sexe, directement pour terminer le travail de la tige et accomplir son œuvre d’extase et de plaisir. Les fesses tétanisées, décollèrent du lit, dans un long sifflement mêlé à un bref cri. Elles retombèrent lourdement, m’obligeant à ouvrir les yeux complètement et ne plus être en mesure d’ignorer que ma compagne du moment venait de connaître un intense moment de plaisir…
    
    Alors que je me penchais sur son visage ourlé d’une fine sueur, je lui souris tandis qu’elle rougit, prise en flagrant délit de plaisir.
    
    Oeke, son prénom me revenait immédiatement au bout de la langue – prononcez Euké ! – sembla confuse, telle une jeune ado surprise dans son intimité… Avec délicatesse, je lui posai un doux et long baiser sur sa bouche aux lèvres pulpeuses, qu’elle entrouvrit à mon premier contact. Et ses bras se transformèrent instantanément en lianes, m’attirant sur elle, puis en elle, sans autre forme de préliminaires.
    
    Oeke restait frustrée de sa caresse qui n’avait pas dû la satisfaire pleinement et en écartant largement ses jambes, en s’ouvrant à ma pénétration, elle finit son plaisir, remplaçant la tige de tulipe par mon sexe bien raide et prêt à lui rendre un hommage matinal enflammé…
    
    Du bout des doigts j’allai vriller la pointe d’un sein faisant creuser le ventre d’Oeke qui m’aspira encore plus loin en me montrant ainsi ...