La fille à la tulipe rouge
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
f,
fh,
frousses,
rousseurs,
hotel,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
fsodo,
totalsexe,
occasion,
Auteur: Jeff, Source: Revebebe
C’est au détour d’une recherche sur Internet que l’image me saute aux yeux et sans efforts, réveille ma mémoire. Là, couchée sur l’écran glacial de mon ordinateur, se superposant à mon souvenir, la fille à la tulipe rouge…
C’est curieux, cette propension que la mémoire a, à faire remonter des souvenirs ou des bribes d’informations qui vous font dire« mais, j’ai déjà vu ça ! », ou alors« j’ai déjà vécu cela… ». C’est exactement ce qu’il vient de se produire alors que je farfouillais sur Internet en pratiquant ce que les spécialistes nomment la sérendipité, c’est à dire l’art d’errer de lien en lien, d’enchaîner les liens les uns derrière les autres et trouver une perle rare de façon fortuite…
Sur un fond blanc, son corps diaphane aux seins à peine marqués, elle est allongée, arc-boutée sur ses épaules, mettant en hauteur et en relief ses poils pubiens. D’entre ses jambes serrées, sort une tige de tulipe dont la fleur rouge va caresser les seins à peine existants. Rien d’autre. Juste cette jeune femme, nue, sans figure ni pieds et… cette tulipe rouge.
Alors pourquoi et par quel miracle ma mémoire vient-elle immédiatement substituer une image analogue bien que différente et lointaine dans mes souvenirs ? Mystère de l’homme, du mâle et de sa mémoire. Et en quelques secondes ou dixièmes de seconde j’ai revu cette scène, revécu sa chaleur, ressenti son érotisme, repensé à cette fille à la tulipe rouge…
oo00oo
Les yeux mi-clos, l’esprit embrumé, mon inconscient me ...
... disait qu’il fallait que je me réveille. Pourtant la douce chaleur du lit, le moelleux de l’oreiller et l’onctuosité de la couette continuaient à entretenir cet état de demi-conscience dans lequel je me trouvais si bien. À côté de moi, je décelais plus que je ne sentais une présence. Petit à petit, les souvenirs se faisaient plus précis, plus nets… Non je n’étais pas seul… Ah oui j’étais bien dans une chambre d’hôtel ! Mais où ? Bon sang, mais c’est bien sûr… j’étais à Amsterdam. Et voilà, tout rentrait dans l’ordre…
Oui, je me souvenais aussi avoir été raccompagné par une mignonne Batave rousse… Et non, ce n’était pas un rêve, ni un fantasme matinal… La paupière à moitié ouverte, elle était bien là… nue, allongée sur le drap blanc, la peau lumineuse et tavelée de minuscules taches de rousseurs, ses longs cheveux roux, frisés, faisaient une auréole rutilante sur l’oreiller et me cachaient son visage. En bas de ses seins, une tulipe rouge vif jetait un contraste saisissant avec le laiteux de la peau.
De mon point de vue, je distinguais les épaules, appuyées sur le drap tandis qu’elle avait soulevé ses fesses… L’esprit en train de se réveiller, je n’arrivais pas à comprendre la scène qui se déroulait à mes côtés et je n’osais pas bouger de peur de rompre le charme de ce réveil.
Dans le silence de la chambre, son souffle bien que léger, était saccadé. Le mouvement de montée et de descente de ses hanches indiquait clairement qu’elle était en pleine ascension d’un plaisir ...