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Confessionnal
Datte: 23/06/2018, Catégories: f, fh, religion, fsoumise, hdomine, Masturbation bougie, fouetfesse, théatre, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... purgatoire Ne me soit infligé qu’à titre transitoire ? Ou suis-je condamnée à subir les tourments De mille diablotins brûlant sadiquement Les damnés dans le feu qui jamais ne s’éteint ? J’encours ce châtiment dans le ciel c’est certain ! Prêtre Je fais le maximum afin de préserver Votre âme de l’enfer, mais elle est dépravée, Et je n’ai pas encore l’exacte connaissance. De votre faute il me faut plus de circonstances. Elle Ce que j’ai ressenti était un feu immense. C’était le paradis : les sensations intenses Inondaient tout mon sexe, mon ventre et mes seins. C’était un incendie parcourant mon bassin. Mon imagination m’inspirait des images Que je n’ose évoquer tant elles sont peu sages. Des idées sont venues follement indécentes Pervertissant ainsi mon âme innocente. Prêtre Ce n’est pas en taisant ces pensées égarées Que vous surmonterez l’écart : il faut narrer Votre libertinage d’une façon complète Afin que je rende le péché obsolète. Elle Puisque vous insistez, l’objet de mes fantasmes Qui se sont imposés au milieu de ces miasmes, C’est vous précisément, car j’ai imaginé Que vous étiez présent là pour me cajoler. Retirant la soutane sous laquelle il n’y avait Nul autre vêtement je vous voyais braver Le vœu de chasteté sur ma propre personne. Rien qu’à ce souvenir encore j’en frissonne ! J’admirais votre verge immense et turgescente. C’était une mâture dure et ...
... resplendissante D’où émanait subtile une lubrique odeur Caressant de mes pieds j’en augmentais l’ardeur. Pendant que mes orteils excitaient votre sexe, Au creux de mon vagin, j’introduisais l’index, Tandis que l’autre main frottait le clitoris. Votre présence était elle toute inspiratrice. J’introduisis alors un doigt dans mon anus, L’enfonçant aussi loin qu’à cet endroit je pusse, Triturant la rosette et très concupiscente. Je ressentais en moi la volupté puissante. J’ai senti l’orgasme déchirer mes entrailles. J’ai perçu sur mes pieds le pénis qui trésaille, Car vous éjaculiez avec exubérance : Rêverie scandaleuse, imaginaire outrance. En mon corps possédé, une joie satanique Me secoua soudain de la transe orgasmique. Je fus là transportée par le Diable en personne Vers la dépravation, moi l’honteuse cochonne. Circonstance aggravante : au cours de cette action Vous aviez conservé, pour ma stupéfaction, Autour de votre cou la croix de Jésus-Christ : Crime blasphématoire, totalement proscrit ! Vous léchiez le sperme en même temps que les plantes Qui étaient de semences luisantes et ruisselantes. Cela me chatouillait mais j’adorais ce stupre Qui voluptueusement venait pour nous corrompre. Il faudra que j’expie ces songeries insanes Qui m’ont fait du démon la folle courtisane. Il faudra que la peine que vous m’infligerez Soit sévère car ainsi vous me soulagerez. Prêtre Ce n’est pas sans raison ...