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Confessionnal
Datte: 23/06/2018, Catégories: f, fh, religion, fsoumise, hdomine, Masturbation bougie, fouetfesse, théatre, Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... les hormones ont gagné. La discipline à laquelle on m’astreignait, Je n’en vois plus le but ; j’ai déjà trop souffert. Il est temps de m’extraire du carcan de fer. La voilà, elle arrive : ainsi les jeux sont faits. Il est temps que la nuit commette ses méfaits. Profitons finement de sa pure innocence : Il faut d’elle obtenir parfaite obéissance. Scène 2 Le prêtre, la femme. Elle Voyez, je suis à l’heure et là vous m’attendiez. L’acquittement ici je suis venue mendier. Je suis à vous soumise : à vous de m’expliquer Ce que je dois faire pour le mal éradiquer. Prêtre Il est vraiment heureux que vous soyez venue. Je vous demande de vous mettre toute nue Comme je l’ai exigé j’espère que personne. Ne sait votre présence alors que minuit sonne (En lui-même, alors que la jeune femme se déshabille.) Elle est tellement belle que la folie me guette Lorsqu’elle ôte sa robe mon sexe est en goguette Car je m’apprête à faire la chose irrésistible Qui allume le feu dans l’âme combustible Car toutes ces années emplies de l’abstinence Se sont accumulées de la concupiscence. Ce n’est que cette nuit que sort brutalement La passion enfouie déraisonnablement. Je m’étais cru un saint mais amer je découvre Que je ne suis qu’un homme et que consciemment j’ouvre La boite de Pandore de la douce indécence. Je m’en vais abuser là de son innocence. Je n’avais jamais vu de belle retirant Un à un ses ...
... habits, ma raison chavirant. Devant ce doux spectacle il n’y a plus de prêtre De ma fidélité là tout va disparaître. Comment suis-je arrivé le temps de ma jeunesse À ignorer l’envie de ces sublimes fesses ? Plongé dans l’étude des textes de la Bible, J’étais indifférent à ces fruits accessibles. Elle Me voilà dénudée dans cette sombre église Effeuillée dans le lieu où l’on évangélise Je vous montre mon corps sans aucun artifice Entièrement offerte à Dieu en sacrifice La lueur des bougies vous éclaire ma peau Voyez donc la brebis écartée du troupeau L’ivraie qu’il faut brûler, la mauvaise servante Quémandent le rachat de prières ferventes Tel un Christ dépouillé dont le seul vêtement Lui a été ôté après le fouettement Par les soldats qui l’ont entre eux tiré au sort Il fallait être nu pour une mise à mort. S’il faut me crucifier je me laisserais faire Pour gagner mon salut, échapper à l’enfer Clouez-moi sur le bois de cette grande croix. Je vous offre ma vie sans crainte ni effroi. Prêtre Je préfère éviter ce châtiment extrême. Bientôt vendredi saint ponctuera le carême. Pour l’heure il n’y a pas ici nécessité De faire l’offrande extrême et puis ressusciter. En lui-même Pourtant j’aimerais bien clouer ce joli corps, Discrètement aller jusqu’à la mise à mort, Sans pagne ou cache-sexe, offerte et consentante. L’horreur est à portée de la main et me tente. Mais un cadavre ici me serait ...