1. L'étalon aiguille (3)


    Datte: 23/06/2018, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... peu quittée au fil du repas. Tiffanny ne pouvait pas ne rien sentir, mais elle ne sembla pas le moins du monde gênée. Au contraire, elle avança encore un peu plus son bassin. Je caressai de ma main droite le cuir de la combinaison qui la moulait en descendant le long de sa colonne vertébrale jusqu’au creux de ses reins. Je respirai son parfum, je sentais ses bras serrés autour de mon cou
    
    Puis elle aussi descendit sa main sur ma hanche et se mit à caresser lascivement le cuir de la jupe que je portais. Lorsqu’il revint de la cuisine et nous vît ainsi, Philippe posa la cafetière sur la table et se colla contre les fesses de sa femme. Nous finîmes la danse à trois.
    
    Le deuxième morceau était plus rythmé et je les laissai danser seuls tous les deux.
    
    D’entrée de jeu, il posa sa main droite sur les fesses de Tiffanny, le majeur placé pile en face de son anus. Elle ondulait gracieusement au rythme de la musique, réussissant malgré la main de Philippe à frotter son bassin à elle contre son sexe à lui. Il faisait soudain bien chaud dans la pièce !!!
    
    Au fur et à mesure que les pistes du CD se déroulaient, nous nous relayâmes Philippe et moi pour faire danser Tiffanny.
    
    Au bout d’un quart d’heure, elle se comportait avec moi comme avec son mari et, sous la jupe, mon gland dépassait largement du slip qu’elle m’avait prêté. Je lui avais pourtant bien demandé un brésilien !
    
    Nous dansâmes les vingt dernières minutes du CD Tiffanny prise en sandwich entre Philippe et moi en ...
    ... échangeant régulièrement nos places. Elle était devenue une véritable liane vivante dont le seul but était manifestement de caresser et d’exciter nos sexes tendus avec son corps !
    
    Chaque fois qu’il se retrouvait face à elle, Philippe baissait un peu plus la fine fermeture éclair de la combinaison. A la fin du CD, celle-ci était complètement baissée et moi, je n’en pouvais plus. Les jolis petits seins de Tiffanny étaient découverts à 80%.
    
    Je finis ma tasse et saisis le prétexte de la fatigue occasionnée par le voyage du matin pour prendre congé.
    
    — Bon, et bien, jeunes gens, je crois que je vais aller me coucher. Je suis vanné. Je repose tes habits dans votre chambre, Tiffanny?
    
    — OK, Sam.
    
    — Et au fait, merci encore !
    
    Ils étaient tous deux tellement occupés à se caresser qu’ils ne firent aucune objection à ma sortie.
    
    Je quittai le salon et me rendis aux toilettes. Après avoir remonté la fermeture éclair de la jupe, je sortis mon sexe par l’échancrure du slip. Je profitai quelques instants de la caresse du satin sur ma peau, mais je ne pus me contenir longtemps et me masturbai furieusement.
    
    Après avoir repris ma respiration, je me rendis dans leur chambre et me dévêtis. Soigneusement, je déposai sur le dos d’une chaise ces vêtements qui m’avaient apporté un plaisir intense bien que furtif puis j’allai me coucher.
    
    Malgré tous les efforts que je déployais pour me calmer, le sommeil ne voulait pas de moi.
    
    Au bout de vingt minutes passées à tourner et ...
«1...3456»