1. La fête, et...


    Datte: 22/06/2018, Catégories: ff, fh, strip, photofilm, 69, fsodo, Auteur: Saturne, Source: Revebebe

    ... !
    
    Nous nous sommes quittés quelques minutes plus tard.
    
    Le week-end chez mes parents se passe très bien ; mes résultats sont excellents. Mes parents remercient sans cesse mon oncle d’avoir bien voulu recueillir leur fille chérie. L’oncle ne tarit pas de compliments sur sa nièce.
    
    Pendant ce temps, mon esprit est ailleurs. Je revois défiler cette année extraordinaire, l’évolution de la relation avec mon oncle, ma fessée ; à cette évocation, je suis encore troublée. Puis je repense à la dernière soirée avec mes amis/ je me suis vraiment lâchée, j’ai été impudique, mais je n’ai aucun regret. Je revois aussi le visage de Myriam me disant « J’espère ne pas te choquer, mais ces coups de langue, tu peux les avoir quand tu veux. »
    
    Cette phrase tourne et retourne dans ma tête ; mon ventre a quelque chose à dire mais ne sait pas l’exprimer. C’est mon cerveau qui interprète « J’ai envie. » ; mon cerveau ne sait rien refuser à mon ventre. Je vais sur la terrasse pour téléphoner tranquillement.
    
    — Myriam ? J’ai besoin d’un petit conseil. Pourrais-je passer te voir dans la semaine ?
    — Bien sûr, quand tu veux à partir de lundi ; avant si c’est urgent.
    — Rien d’urgent ; je suis chez mes parents jusqu’à dimanche après-midi. Lundi me convient très bien.
    — C’est parfait, je suis à la maison toute la journée.
    — Eh bien en début d’après-midi, à partir de 13 heures.
    
    Le lundi matin, je suis électrique ; mon oncle s’en aperçoit très vite :
    
    — Chloé, quelle chose ne va pas ?
    — ...
    ... Si, mon oncle, tout va bien. Je suis un peu triste de te quitter et de quitter mes amis de la fac ; cela va me passer.
    
    L’oncle me prend tendrement dans ses bras et m’embrasse sur le front.
    
    Après le déjeuner, je passe une heure dans ma chambre à choisir les vêtements que je vais porter ; je me sens un peu mal à l’aise : c’est encore mon cerveau qui censure, mais mon corps veut que je sois désirable. Je passe un long moment à choisir mes sous-vêtements, ma robe et mes chaussures. Inconsciemment, je suis beaucoup plus exigeante sur ma tenue que lors de mes sorties avec les garçons : je sais que Myriam analysera chaque détail, que rien ne lui échappera.
    
    Je m’examine dans la glace de face, de dos et de profil. Je relève ma robe ; l’accord robe/lingerie ne me convient pas, je me change à nouveau. Le manège dure une heure, et à la fin je suis satisfaite. Je vais partir à mon rendez-vous, mais à la dernière seconde j’enfile une paire de bas autofixants, bien que cela ne soit absolument pas de saison.
    
    J’arrive chez Myriam avec un nœud au ventre. Ses parents sont au travail. Quand je sonne, la porte s’ouvre aussitôt. Elle est seule ; elle était certainement derrière la porte à m’attendre. Elle a un sourire radieux, elle est belle, simplement mais bien habillée, à peine maquillée, légèrement parfumée. Elle m’embrasse sur les joues, me complimente sur ma tenue, me demande si je veux boire quelque chose. Vraiment nouée, je décline sa proposition : j’ai l’impression que je ne ...
«12...567...19»