1. La fête, et...


    Datte: 22/06/2018, Catégories: ff, fh, strip, photofilm, 69, fsodo, Auteur: Saturne, Source: Revebebe

    ... Dès les premières caresses, mon corps s’est allumé, alors j’ai aussitôt plaqué la tête de Myriam contre mon sexe. Ses caresses précises sur mes fesses et dans mon sillon, ses doigts qui se sont insérés dans mon vagin me font fait décoller en très peu de temps.
    
    Je ne suis pas sitôt remise de mon dernier orgasme que le père de Myriam arrive. Je vais remettre ma culotte mais Myriam attrape mon bras, reprend la culotte, la plaque sur son visage avec ses deux mains et dit :
    
    — Cadeau.
    
    Je souris, un peu embarrassée d’avoir à me promener sans culotte dans la rue avec une robe si légère, mais je ne me sens pas le cœur de lui refuser cette faveur. Elle me raccompagne à la porte ; son père est dans une autre pièce, il ne m’a pas vue sortir. Elle reste sur le pas de la porte à me regarder m’éloigner. Quand je tourne au coin de la rue, elle est toujours devant la porte. Je suis triste : je viens de saborder notre amour, par ma faute…
    
    La semaine suivante, la dernière que je dois passer chez mon oncle avant de retourner chez mes parents pour les vacances, je n’ai que quelques formalités à accomplir à l’université. Le mardi, alors que je sors d’une supérette, je rencontre Michel ; il semble très content de me voir, m’embrasse comme à son habitude. J’essaie de lui faire comprendre que je n’ai pas beaucoup de temps, ce qui est complètement faux.
    
    — C’est vraiment dommage, cela me faisait tellement plaisir de te voir. Tu n’as pas beaucoup été présente chez ton oncle ces ...
    ... temps-ci, avec tes partiels.
    — Oui, c’est vrai, mais je pars dans quatre jours et j’ai encore beaucoup de choses à faire.
    
    Il insiste :
    
    — J’ai des photos qui pourraient vraiment t’intéresser. D’ailleurs, j’en ai une sur moi, je peux te la montrer.
    
    Je me demande bien quel genre de cliché il peut vouloir me montrer…
    
    — Montrez, j’ai bien deux minutes devant moi.
    
    Michel sort une enveloppe de sa veste et me la tend. Je l’ouvre et sors la photo. Elle a été prise pendant notre soirée, mais pas par l’un des participants car on les aperçoit tous au premier plan. Le sujet principal, c’est moi, quasiment nue, la main dans la culotte, qui provoque les spectateurs. La photo est d’une netteté exceptionnelle. Je suis très troublée en la voyant : elle me fait spectatrice de ma propre exhibition.
    
    — Qui a pris cette photo ?
    
    Michel hésite et me répond :
    
    — Moi.
    — Comment vous est venue l’idée de venir photographier la nuit chez les parents d’une amie ?
    — J’étais présent chez ton oncle quand tu as reçu l’invitation ; tu avais mis le téléphone en mode haut-parleur pour pouvoir noter, et comme je suis un peu curieux…
    — Que comptez-vous faire de cette photo ?
    — Je vais la conserver, avec les autres, pour les admirer.
    — Je peux les voir ?
    — Bien sûr. Viens chez moi, c’est à deux pas.
    
    Ce type me dégoûte, mais je n’ai pas peur de lui. Je le suis jusqu’à son domicile, une maison quelconque, plutôt bien entretenue. Il allume son ordinateur ; je m’assieds sur un tabouret devant ...
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