1. La fête, et...


    Datte: 22/06/2018, Catégories: ff, fh, strip, photofilm, 69, fsodo, Auteur: Saturne, Source: Revebebe

    ... entreprend un mouvement de bascule de son bassin d’avant en arrière qui fait frotter nos sexes l’un contre l’autre. Même si à ce stade le mouvement est très lent, nos clitoris si sensibles ressentent puissamment le contact de nos deux intimités. Son mouvement s’accélère. J’essaie de me contrôler car mon corps semble réagir plus vite que le sien et je veux que cette fois-ci nous jouissions ensemble.
    
    Son rythme est rapide ; je vois qu’elle est prête à jouir, aussi je mets mon bas-ventre en mouvement. L’effet du frottement est démultiplié, la montée du plaisir est fulgurante. Nos gémissements se croisent et s’amplifient jusqu’à mon orgasme ; je crie et je me déchaîne sur son sexe tandis qu’elle en fait de même pendant quelques instants, puis pousse de petits cris. Elle s’effondre sur le lit puis se tourne vers moi ; je me tourne vers elle et nous nous regardons, échangeant des mots doux, de timides baisers.
    
    Ainsi se terminera notre après-midi. À 17 heures, ses parents vont revenir du travail ; il vaudrait mieux que je parte avant leur retour. Nous nous rhabillons ; nous sommes un peu tristes. Je sais qu’elle va me demander de revenir ; c’est ce qu’elle fait :
    
    — Je vais avoir du mal à me remettre de toutes les émotions d’aujourd’hui. Tout ce que j’ai ressenti avec toi, je suis incapable de l’exprimer ; c’est trop fort. Mon cerveau a besoin de l’analyser, mais je sais déjà que je suis allée bien au-delà de tout ce que j’ai connu avant toi. Je voudrais que tu me dises que ...
    ... tu reviendras un jour faire l’amour avec moi, mais j’ai le triste pressentiment que cela ne se produira pas
    
    Elle lit dans mes pensées : j’ai été comblée pendant plus de trois heures et je crois ressentir quelque chose de fort pour elle, mais j’ai peur d’être fustigée en tant que lesbienne par les bien-pensants : il y a parmi eux des gens que j’aime et dont voudrais garder l’estime. Je manque peut-être de courage… Il y aussi que, dans mes projets futurs, je vois un homme que j’aime et qui me fait de beaux enfants. C’est un peu bourgeois comme aspiration, mais je suis très imprégnée par mon éducation.
    
    Elle a lu la réponse dans mes yeux. Elle sait qu’elle n’est pas en cause, qu’elle me plaît beaucoup, que j’ai été terriblement heureuse dans ses bras, que dans un monde différent je serais revenue le lendemain matin pour refaire l’amour dans cette chambre ; elle n’en est que plus triste. Je la prends à nouveau dans mes bras, j’essuie ses larmes avec mes baisers, me mets également à pleurer. Je voudrais que notre liaison se termine sur une note plus gaie. Je réfléchis un instant et lui dis dans un sourire noyé de larmes :
    
    — Tu n’avais pas dit l’autre soir que les coups de langue, je pouvais les avoir quand je voulais ?
    
    Son visage triste se déride ; elle me fait un pâle sourire, se met à genoux devant moi, passe ses mains sous ma robe, fait descendre ma culotte, la retire, puis passe sa tête sous ma robe, pose sa bouche contre mon sexe et plaque ses mains sur mes fesses. ...
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