1. Désaccords


    Datte: 22/06/2018, Catégories: f, h, fh, jeunes, grosseins, Masturbation pénétratio, fdanus, jouet, baillon, hplusag, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... perçut dans le salon, une intense conversation à trois voix. Devait-il revenir demain ? La maladive curiosité de Quentin l’amena plus près de la baie :
    
    — Écoutez Véronique ! Cela ne va pas se passer comme cela ! Vous profitez de la faiblesse de mon père pour le dépouiller !
    
    Le premier fils avait dans la cinquantaine. La sueur naissait sur son crâne entre quelques cheveux gris blanc et coulait sur le front du ventru.
    
    — Votre père est mon mari ! Je ne supporterai pas une minute de plus vos allégations !
    
    Luc essuya son front du dos de la main et dévisagea sa belle-mère : il apprécia l’étroitesse de sa robe et Véronique vint près de lui sur ses talons hauts. D’égale taille, elle le défia, il s’inquiéta et son frère enchaîna :
    
    — Vous ne niez pas !?
    
    Véronique tourna la tête vers son second beau-fils. Elle fit quelques pas dans sa direction.
    
    — Claude ! Écoutez ! Les ventes que j’ai pu faire – avec l’accord de votre père – ont été faites en toute légalité ! J’en ai les preuves écrites !
    
    Le joufflu agita son gros bras :
    
    — Connerie tout ça ! Vous paradez autour de lui depuis la mort de notre mère. Vous avez décidé de le dépouiller pour pouvoir jouir de votre vie de…
    
    Véronique marcha vers lui, la mâchoire crispée :
    
    — Répétez ?
    — Vous êtes une pute !
    
    Elle leva la main, mais Luc bloqua son avant-bras et l’immobilisa sur un sourire. Il en profita pour lorgner sur le décolleté :
    
    — Lâchez-moi !
    — Lâche-la, Luc !
    
    Le costaud ne bougea pas, Véronique ...
    ... tremblait et elle affronta le regard immoral. Il l’attira plus près de lui, les deux corps se percutèrent au niveau du ventre et de la poitrine. Il posa sa grosse main moite sur les fesses de sa belle-mère qui se calma…
    
    — Frérot ! Regarde comme elle est docile !
    
    Il fit un clin d’œil à son frère, tout en frottant son corps contre celui de Véronique qui commençait à défaillir.
    
    — Laisse Luc ! Véronique ! Et le Régny ?
    
    Elle grimaça brièvement.
    
    — Celui qui ressemble à un Picasso ! Il est où ?
    
    Elle retrouva un brin d’énergie libérée de l’étreinte de Luc.
    
    — Cela faisait dix ans qu’il dormait dans l’une des chambres d’amis ! Nous l’avons vendu aux enchères !
    — Combien ma jolie ?
    — 50 000 € ! C’était une copie certifiée !
    — C’était l’original, mon cul ! Il faudra que tu nous rendes des comptes !
    — Je n’ai rien à cacher !
    
    Luc la déshabilla du regard.
    
    — C’est ce que je vois !
    — Plutôt que d’abuser d’un vieil homme, tu ne devrais plutôt pas abuser de ses héritiers !
    
    Tous les deux abusèrent de la situation et les quatre yeux détaillèrent la poitrine nue sous la robe d’été.
    
    — Vous êtes une honte pour votre père !
    
    Poussé par la sensualité de la professeure de musique, Claude s’approcha d’elle… Elle ne bougea pas, lui montra qu’elle n’avait pas peur de lui en se laissant faire… Il effleura son corps d’une main… Une hanche… Un sein…
    
    — Tu prendrais combien pour nous tourner la tête ?
    
    Véronique esquissa un sourire moqueur, avant de le gifler.
    
    — ...
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