Désaccords
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
jeunes,
grosseins,
Masturbation
pénétratio,
fdanus,
jouet,
baillon,
hplusag,
Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe
... l’entoura de ses bras durant plusieurs instants…
… Véronique poussa la porte de sa chambre et s’effondra à plat-ventre sur le lit. Elle étira une main en direction de sa table de chevet où, dans le tiroir, ses doigts s’emparèrent d’un gode et d’un bâillon.
Elle se retourna avec le sourire et fixa le plafond… D’une main, elle s’empara du phallus, elle glissa ses vingt centimètres entre ses seins, avant de le prendre en bouche, pendant que ses doigts disparaissaient entre ses cuisses… Son souffle s’accéléra et elle précipita ses dents sur le gland de six centimètres de diamètre, avant de le faire disparaître loin dans sa bouche…
Véronique se tourna sur le côté en pénétrant passionnément son sexe avec deux doigts rageurs. En chien de fusil, elle tendit sa croupe vers le gode qu’elle étreignait dans sa main libre. Le gland huilé de sa salive tutoya plusieurs fois sa bague anale qui subit une première contrainte, révélant ainsi que Véronique était une habituée de ce genre de plaisir.
Son anus se déforma à la première sollicitation et à la seconde, le sphincter avala la tête du jouet. Elle le poussa… loin… et entama un mouvement de va-et-vient sur une double pénétration.
Le tonnerre gronda… Véronique s’agenouilla sur le lit, le gode sodomite resta calé dans ses entrailles. Elle noua un bâillon boule sur sa bouche et pendant que ses doigts vibraient sur son clitoris, sa main libre pétrissait sa poitrine en marmonnant des mots incompréhensibles… Son excitation ...
... redoublait, quand elle s’empalait franchement sur le gode qui lui rappelait la vigueur de son amant. Le bâillon laissa échapper deux filets de salive qui coulèrent sur sa poitrine. Elle tritura ses tétons, avant qu’un coup de tonnerre ne déclenche sa jouissance « silencieuse » à travers le bâillon…
Elle s’écroula sur le lit en râlant un long instant, avant que le plaisir ne s’endorme avec elle…
Ce matin, dans le parc, Véronique arborait une robe mi-cuisses, boutonnée sur l’avant. Son allégresse chahutait sa poitrine et confirmait l’absence de soutien-gorge. Un panier en osier au bras, elle passait de massif de fleurs en massif de fleurs sur un large sourire.
Le soleil était à son zénith et il avait obligé Véronique à tirer le store du salon. La sérénité régnait dans le parc jusqu’à ce que le véhicule d’un jeune conducteur ne s’aventure dans l’allée, avant de s’immobiliser à côté d’une vieille Porsche 911. Quentin fixa la sportive aux formes captivantes, avant de se diriger vers la maison. Il avait décidé de s’expliquer avec sa professeure. Malgré sa faute, il espérait le pardon de la femme qu’il « honorait » chaque nuit et qui ne voulait pas de lui. Quentin avait usé de gel pour se faire une coiffure à la Clark Kent, mais, hélas, les spots qui marquaient son visage arrêtaient toute comparaison.
Comme hier, le jeune violoniste hésitait à sonner, lorsque soudain, il détourna le regard en baissant sa main. Il fronça les sourcils et contourna la maison… Sur la terrasse, il ...