Le fantasme de Jean - Histoires de Sexe

Le fantasme de Jean

... mon pubis. J’écarte mes jambes et me cambre au maximum pour faciliter le contact. Ta langue vient caresser mon sexe, tu joues avec mes poils, tires dessus par petits coups, puis commences à mordiller mes lèvres, tu les pinces avec tes dents. Ta langue vient ensuite au contact de mon clitoris, elle le titille, essayant de s’enrouler autour. Tu plaques ensuite ta bouche contre ma chatte et tu aspires le clitoris pour l’exciter et le faire sortir de sa cachette. J’éprouve des petits pincements de plaisir ; mon ventre adore ce genre de massage, il en redemande et déjà il se prépare à recevoir un assaut final. Je sens la pression monter et je commence à haleter. Tu sais que je suis maintenant prête. Alors tu te retires et tu cèdes ta place à Fred :

— Prends-la et fais-la jouir.

J’ai alors su que le moment fatidique était arrivé, que j’allais être possédée par un homme que je ne connaissais même pas. Fred s’approche du canapé. Il saisit d’un même mouvement mes deux mamelons et les fait rouler entre ses doigts. Il monte sur le canapé et se met à genoux au-dessus de ma tête. Sa bouche vient se coller à la mienne, et sa langue s’introduit entre mes lèvres. Ses mains continuent à jouer avec ma poitrine :

— Tu as des jolies mamelles !

Il me pelote les miches, saisit à nouveau mes mamelons, les écrase un peu, les étire, fait courir ses ongles dessus. Je les sens qui durcissent et le désir se fait sentir au niveau de mon ventre. Fred en a sans doute conscience, puisque ses ...

... mains descendent doucement vers mon nombril. Il caresse doucement mon ventre, avançant lentement vers mon mont de vénus, mêlant ses doigts à mes poils. Il passe ses ongles sur l’intérieur de mes cuisses, ce qui me crispe. Mais rapidement il pose une main à plat sur mon sexe, écartant les poils, pour finalement se poser sur mon bouton. À ce moment-là, je m’aperçois qu’il est tellement penché au-dessus de moi, que je vois sa queue et ses boules tout près de mon visage. Je ne peux résister au plaisir de prendre ses couilles à pleines mains et de les malaxer. En même temps je tente de lever la tête pour toucher sa bite avec ma langue. Mais Fred a autre chose en tête.

À mon grand regret, il se relève et vient se placer entre mes jambes que j’ai d’instinct écartées. Il relève mes jambes, appuyant sur les mollets pour que les genoux me touchent presque les côtes. Quand je suis complètement pliée en deux, il s’installe au-dessus de moi, prêt à me pénétrer, son dard à l’entrée de mon sexe sans même chercher l’ouverture. Il entre sauvagement d’un seul coup de reins, me pénétrant de la moitié de la longueur de son membre. Bien que très ouverte, comme tu le sais, je crie de surprise et je me crispe. Puis mon malaise se dissipe et je me détends. Dans un réflexe, je saisis sa main qui se promène sur mon sein, et je la serre comme si c’était la tienne. Me sentant prête, ils s’enfonce tout au fond de moi, nos deux pubis se rejoignent, nos poils se mêlent.

Je sens sa queue au fond de mon ...