Le fantasme de Jean - Histoires de Sexe

Le fantasme de Jean

Merci à toi, Jean de m’avoir obligée à vivre ton fantasme. Depuis longtemps, tu me ressassais le désir de me voir aux mains d’un autre mâle. J’ai longtemps refusé, parce que je n’ai jamais eu envie de chercher ailleurs ce que j’ai sous la main. Mais je t’aime beaucoup et tu as su me convaincre pour une première expérience, me laissant le choix d’arrêter à tout moment. Tu as cherché sur le web des sites coquins qui proposent des rencontres, du libertinage, du voyeurisme, de l’échangisme. Après maintes recherches où tu m’as demandé mon avis, j’ai fini par donner mon accord pour un premier contact. Il faut dire que le gars avait rédigé une annonce alléchante :

Tu as donc contacté Fred et vous avez échangé des discussions pendant plusieurs jours, personne n’étant pressé ; Fred nous a envoyé sa photo. Physique agréable. Nous avons rapidement été d’accord pour qu’il vienne chez nous le samedi suivant.

Pour cette première rencontre, nous ne cherchons pas à faire dans la dentelle. Je serai vêtue simplement, de manière à être très facilement accessible aux mains de notre invité. Pas de soutien-gorge, un string très mini qui passe dans ma raie et dont le triangle cache à peine ma chatte. D’ailleurs les poils de ma chatte non rasée débordent largement de chaque côté. Je ne me rase pas parce que je sais que tu aimes voir mes poils déborder. Par-dessus, j’enfile une robe ample à fines bretelles permettant un accès facile à ma poitrine. Elle couvre tout juste la moitié de mes ...

... cuisses pour attiser le regard de Fred.

À dix-sept heures, nous sommes prêts. Une voiture vient se garer devant chez nous. Fred en sort, vérifie le numéro de rue, et sonne. Nous nous installons confortablement dans le salon pour faire connaissance en dégustant un verre de vin. Jean s’accapare un fauteuil et nous invite, Fred et moi, à occuper le canapé.

Fred commence ses travaux d’approche comme s’il s’agissait d’un premier flirt. Il caresse ma joue, me passe la main dans les cheveux. Il se penche à mon oreille, et murmure assez fort pour que tu l’entendes :

— Tu me plais beaucoup, je crois que je vais te baiser.

Il commence alors à me caresser la cuisse, passe sa main sous la robe. Je m’enhardis et pose une main sur la bosse de son pantalon. Lui, vient prendre ma bouche et nous roulons notre première pelle, mélangeant nos langues. Je commence à me sentir toute chose, je me colle à Fred, écartant les cuisses. Sa main vient tâter mon string déjà humide. Je te regarde. Tu suis la progression de la main avec attention. Tu ne restes pas insensible à la situation. Tu te caresses à travers la poche de ton pantalon. Je pense qu’il est temps de passer à la vitesse supérieure.

J’ouvre la braguette de notre invité pour mieux le caresser, et comme je n’arrive pas à faire sortir l’oiseau de sa niche, je déboucle la ceinture ; il se soulève et je descends son pantalon. Son caleçon tendu ressemble à une tente. Je plonge ma main à l’intérieur et, avec bien du mal, j’en sors le mat. ...