Marlène (chapitre 9) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 9)

... troublait. La moindre erreur laisserait une trace indélébile et pourrait être motif à punition. Lui laisserait-il voir ces images? Peut-être en discuterait-il avec elle après? 
Il écarta les pans de son peignoir, dévoilant son sexe déjà dressé. Elle posa pour la première fois le regard sur ce membre, dont elle rêvait depuis tant de jours et qu’elle n’avait jusqu’à cet instant pu qu’imaginer. Elle attendait le moment de pouvoir l’embrasser, le lécher, le caresser de ses lèvres, l’engloutir jusqu’au plus profond de sa gorge. Elle restait immobile, le ventre en feu, mais cet ordre ne venait pas. Il commença alors à lui caresser les pointes des seins avec une infinie douceur, les effleurant à peine du bout de ses doigts. Elle les sentait durcir et se dresser et eu besoin de toute sa concentration pour garder les yeux et la bouche ouverts. Elle sentait son sexe dégouliner entre ses jambes et sa respiration s’accélérer. Allait-elle pouvoir garder son self-contrôle? Il le fallait, absolument !
Enfin, il lâcha ses mamelons et posa sa main derrière sa nuque, la tirant  vers lui, avec douceur. 
Vas-y. À toi de jouer, lui dit-il doucement.
Elle approcha lentement sa bouche et commença à titiller la pointe du gland avec la pointe de sa langue, partant du centre et glissant vers le pourtour, en petits cercles excentriques. De légers spasmes faisaient sursauter son sexe, l’obligeant à rectifier sa position pour reprendre le contact, signes du plaisir qu’il ressentait. Elle était ...

... heureuse. En moins de deux heures, elle était passée de l’enfer au paradis.
Au bout de quelques minutes, elle ouvrit la bouche et posa ses lèvres autour du gland, continuant à le caresser avec sa langue, tournant tout autour, le frottant contre son palais. Il poussait de petits gémissements et son souffle devenait saccadé. Afin de prolonger son plaisir , elle décida de ralentir et lentement, progressivement l’engloutit  jusqu’au fond de sa gorge, par des allers-retours toujours plus profonds. À chaque fois qu’un spasme un peu plus fort survenait, elle s’arrêtait pour repousser sa jouissance. Au bout de vingt minutes, n’y tenant plus, il lui souffla d’une voix rauque:  « Ne t’arrête plus! Fais moi jouir! Je n’en peux plus! »
Elle reprit ses mouvements de va-et-vient, de plus en plus rapides, cognant à chaque fois le gland dans le fond de sa gorge. Moins d’une minute plus tard, il poussa un cri de plaisir et déversa sa semence dans sa bouche, par longs jets saccadés. Elle avalait le plus vite possible, craignant de laisser échapper du sperme, ce qui était formellement interdit. Elle avait la bouche emplie d’un goût âcre mais s’appliqua à nettoyer intégralement le membre avec sa langue, jusqu’à ce qu’il ne reste aucune trace. Elle se redressa alors et reprit sa position, les mains toujours derrière le dos, le regard baissé et la bouche entrouverte. Elle ne pouvait réprimer un léger sourire. Elle était heureuse et sûre que son maître était satisfait d’elle.

Il s’était levé et ...