Marlène (chapitre 9)
Datte: 19/09/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Vos histoires
Auteur: M. Berthy, Source: Histoires-de-Sexe.club
... haute! »
Elle compta « un! » À ce moment le voyant vert disparut et elle laissa revenir la poignée en arrière. Mais pas de répit! Déjà le voyant rouge s’était rallumé. Elle tira de nouveau jusqu’au bout et cria « deux! » puis relâcha quand le voyant vert s’éteignit.
Les dix premières tractions se passèrent sans trop de problèmes, même si chaque mouvement était plus dur que le précédent. Au onzième, elle resta calée à mi-course, incapable d’aller plus loin. Une décharge lui déchira le ventre et elle hurla, mais sous la douleur, elle avait complété la traction et le voyant vert s’était allumé. Mais le courant était toujours là et tout son corps se tordait. Quand ça s’arrêta, le voyant vert s’était éteint. Elle relâcha la tension mais elle était à bout de souffle.
Par contre, la poussée d’adrénaline lui avait rendu des forces, combinée à la peur d’une autre décharge.
Ça va commencer à devenir amusant, dit l’un des deux hommes, avant de commencer à rire. En effet, répondit l’autre en ricanant, je pense que nous allons avoir du spectacle.
Marlène enchaîna quatre tractions supplémentaires, mais tous ses muscles se nouaient, brûlaient. Elle était prise de crampes et était à bout de forces. La seizième traction fut celle de trop. Même la décharge dans son ventre ne lui permit pas de soulever les poids et de compléter le mouvement. Le courant continua à lui déchirer le ventre et elle ne pu plus que hurler et se tordre de douleur.
Ils la laissèrent ainsi près de ...
... deux minutes. Elle avait cessé de crier, épuisée et au bord de l’évanouissement. Son maître se leva alors et débrancha l’électrode, la laissant en larmes et secouée de spasmes, incapable de reprendre son souffle.
Assieds-toi, lui dit-il sèchement. Mais garde l’électrode. Cinq minutes de repos et on reprend. Tu ne vas pas t’en tirer aussi facilement. Je vais augmenter un peu le voltage, ça augmentera ta motivation.
Elle fondit en larmes et se laissa tomber sur le sol, tremblante et haletante. Elle supplia « Pitié, Monsieur, je n’en peux plus! Je n’y arriverai jamais ! Voulez-vous me tuer? Pitié ! Pitié ! »
Il se leva brusquement de sa chaise et cria « qu’est-ce que c’est que ces manières? Tu me fais honte! Je vais t’apprendre le respect et l’obéissance, moi! En position, immédiatement ! Allez! Debout ! Plus vite! En position sur le banc! Plus vite! Plus vite! »
Elle restait sur le sol, tremblant et hoquetant, incapable de réagir. Elle voulait obéir mais son corps ne répondait plus. Elle était vidée de toute force.
Soudain, elle sentit qu’on la soulevait. Les trois hommes l’avaient saisie et la portaient sans ménagement sur le banc. Elle sentit une sangle se serrer autour de sa taille, tandis qu’on lui attachait les pieds de part et d’autre de l’appareil. Une dernière sangle fut placée autour de son cou. Elle était totalement immobilisée, à l’exception de ses bras. On lui mit d’autorité la barre entre les mains. Elle ne pouvait toujours pas reprendre le contrôle ...