Marlène (chapitre 7) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 7)

... fouet commence à s’enrouler sur le sujet, de tirer un coup sec pour lui donner le maximal de vitesse et de force d’impact à l’extrémité. Comme ceci. »
Il frappa de nouveau, mais en tirant, cette fois. Elle poussa un hurlement aigu. Une marque rouge vif apparut au point d’impact.

« Tu devras aussi apprendre à viser un point précis, en tenant compte de la longueur du fouet et de la longueur que tu vas retirer à la fin tu mouvement. Regarde, je vais viser le nombril. » Il enroula à deux reprises la lanière autour de la taille, tout doucement, sans même lui faire mal. L’extrémité arrivait chaque fois 20 à 25 centimètres trop loin. La troisième fois, il frappa beaucoup plus fort et tira d’un coup sec. La pointe du fouet arriva exactement sur le nombril, avec une vitesse incroyable. Nouveau hurlement. Une zébrure rouge vif, presque noire, apparut en travers du ventre, de part et d’autre du nombril. Marie-Agnès se débattait frénétiquement dans ses liens, mais sans pouvoir bouger de plus d’un centimètre. 

« Il te faudras beaucoup de pratique et d’entraînement pour arriver à cette précision, mais ne t’inquiète pas, tu y arriveras. Pour aujourd’hui, contente-toi d’essayer de tirer au bon moment, et de repartir tes coups sur tout le corps, des aisselles aux chevilles. »

Il lui tendit le fouet. « Vas-y, elle est à toi, fais-en ce que tu veux. Deux douzaines de coups, mais attention, si j’estime que le coup n’est pas assez fort, je ne le comptabilise pas. Il est à ...

... recommencer. »

Marlène se saisit du fouet. Elle ressentit une impression de force et de puissance. Sa tortionnaire de tout à l’heure était en son pouvoir et elle allait lui faire regretter ce qu’elle avait fait à ses seins. Elle s’approcha, posa le fouet autour du cou de la femme, et brusquement, lui cracha au visage. « Ouvre la bouche, très grand! » elle obéit. Marlène lui cracha dans le fond de la gorge « Avale! » 
Marie-Agnès se mit à tousser mais garda la salive en bouche, puis déglutit péniblement. « Marlène s’était légèrement reculée, et contemplait la poitrine de sa victime. Les pointes des seins étaient bleues et boursouflées. De petites croutes s’étaient formées aux endroits où le sang avait perlé. Les mamelons étaient complètement déformés et presque noirs. Elle la regarda dans les yeux un long moment, puis brutalement, lui tordit violemment les pointes. Une seconde seulement, puis les lâcha. Marie-Agnès s’était remise à hurler, complètement paniquée.

Marlène avait repris le fouet et reculé de deux mètres. Elle lança un premier coup, au niveau de la taille, mais ne parvint pas à coordonner le retrait final. La lanière claqua sur la peau mais sans beaucoup de force. Marie-Agnès se tendit dans ses lien et poussa un petit cri.

« Le mouvement n’est pas mauvais, Marlène, mais tu dois frapper beaucoup plus fort et surtout, ne pas oublier le tirage final. C’est lui qui donne toute l’efficacité au coup. Ce coup ci ne compte pas, il est beaucoup trop faible. »

Marlène frappa ...