Marlène (chapitre 3) - Histoires de Sexe

Marlène (chapitre 3)

... elle avait inconsciemment décidé de punir ce sexe qui l’emmenait sur des chemins depuis toujours interdits.

Le reste n’était pas si compliqué. Ni la nudité pour dormir, agréable en fin de compte, ni la nudité la matinée, même si certaines tâches comme le repassage ou la préparation du déjeuner n’étaient pas naturelles pour elle dans cette tenue. Les séances de pose devenaient de la routine, ainsi que l’étude des positions.

Le plus dur était cette brûlure qui l’empêchait toujours de se caresser et cette excitation qui de ce fait augmentait d’heure en heure, jusqu’à occuper tout son esprit. Des images d’humiliations et de punitions, toujours plus violentes, recommençaient à tourner dans sa tête, sans qu’elle puisse faire quoi que ce soit pour les chasser. Ses seins se durcissaient et son vagin était inondé. Il fallait qu’elle trouve une solution, à n’importe quel prix, sinon elle ne pourrait pas tenir. Elle tenta encore un doigt entre ses petites lèvres mais cria de douleur. Elle arriva finalement à s’introduire deux doigts dans le sexe, par l’arrière ou elle était moins blessée. Cela lui procura un peu de plaisir mais la brûlure la força à s’arrêter bien avant l’orgasme. Elle fut réduite à espérer que les crèmes agissent vite et lui permettent enfin de se soulager. 

Le temps passait. Il était temps maintenant de commencer à se préparer. Elle remplaça le string par une culotte plus enveloppante, toujours en coton, douce et sans couture, choisit un soutien-gorge ...

... faisant gonfler sa poitrine, l’agrafa puis entreprit d’enfiler ce maillot de lycra, moulant, serrant à la taille, aux cuisses, aux fesses et emprisonnant sa poitrine comme dans un corset. 

Comme il s’agissait d’une modèle une pièce, elle l’enfila en passant d’abord ses jambes dans l’encolure, avant d’ajuster le tissu sur ses mollets, puis sur ses cuisses et jusqu’à sa taille. Elle passa ensuite ses bras dans les manches et ajusta le haut. Le tissu élastique exerçait une pression sur son ventre, douloureuse mais supportable. Vu de l’arrière, le fin tissu collé à ses petites lèvres laissaient clairement apparaître la fente et le double renflement. Elle envisagea même un moment de retirer ses sous-vêtements, de manière à accentuer cet effet et à laisser mieux distinguer ses seins et surtout ses mamelons dressés. Elle y renonça, de peur de paraître trop provocante. Elle devait rester un petite fille sage, du moins encore quelques jours.

Elle avait à peu près une demi-heure de route jusqu’à chez lui. Elle partirai donc vers 17 heures 15, de manière à être dans son quartier une dizaine de minutes plus tôt. Elle attendrai dans sa voiture pour arriver devant sa porte et sonner à 17 heures 58. Même un ralentissement sur le chemin ne la ferai pas arriver en retard. Elle voulait absolument respecter les consignes à la lettre pour lui prouver son obéissance.

Il était 16 heures 50. Elle pouvait se maquiller tranquillement et se mettre en route.

Le trajet se déroula sans encombre. À ...