1. Nuit d'Halloween pour Claire


    Datte: 21/06/2018, Catégories: fhhh, jeunes, inconnu, bizarre, école, amour, contrainte, revede, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... parvenir. Ils vont voir ses seins, les toucher sans nul doute, ses seins que nul garçon encore n’a contemplés… Si, à vrai dire : Quentin, un jour, alors qu’elle se penchait devant lui le cœur battant follement parce qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge, exprès pour qu’il les trouve beaux, ses jeunes seins. Et voilà que Joyeux écarte maintenant les deux pans du soutien-gorge, mettant sous les yeux de tous ses seins virginaux… Quelle profanation ! Elle ne peut pas s’empêcher de sangloter.
    
    — Pitié, ayez pitié de moi !
    
    Si elle leur dit qu’elle est vierge, ils seront encore plus excités. Elle a beau se débattre, ses liens sont solides, elle ne réussit qu’à se faire mal aux poignets et aux chevilles.
    
    — Tuez-moi plutôt mais ne me violez pas ! Toi, l’homme au couteau, enfonce-le dans mon cœur.
    — Comme c’est théâtral, se moque Joyeux.
    
    Et, sous les yeux ravis de tous les autres, il déboutonne la jupe de la pauvre Claire. C’est une jupe portefeuille, bleu marine, qui lui couvrait même les genoux mais qui ne cache plus rien, maintenant qu’elle est ouverte. Claire n’a plus sur elle que sa petite culotte rose.
    
    — Je continue ? demande Joyeux à prof en glissant la pointe du couteau sous la culotte.
    
    C’est Prof qui semble en effet être le chef.
    
    — Non, pas encore, répond-il. Elle nous le demandera elle-même dans peu de temps.
    
    Jamais, jamais, se jure Claire, pendant que Timide lui caresse les seins, très doucement.
    
    — Il convient de l’aveugler. Grincheux, fouille ...
    ... dans son armoire et trouve un foulard, ordonne Prof.
    
    Grincheux obéit, montre aux autres les sous-vêtements de Claire, ce qui qui les fait rire. Il trouve un foulard de soie rouge, le tend à Prof, qui le noue autour du visage inondé de larmes de la pauvre jeune fille.
    
    — Sans doute préfères-tu ne pas nous voir. Nous sommes laids, n’est-ce pas ? lui demande Prof.
    — Vous n’êtes pas laids, là n’est pas la question mais je ne veux pas qu’on me touche.
    — Pas nous, hein ? Un autre, peut-être ?
    — Cela ne vous regarde pas.
    — Tu crois peut-être qu’un jour ton prince viendra, n’est-ce pas, Blanche Neige ? Vas-tu te priver, dans cette improbable attente, du plaisir que nous pouvons te procurer ? Ne vas-tu pas nous supplier de lécher ta petite chatte, d’y faire pénétrer… quoi donc, l’anguille peut-être ?
    — Vous êtes odieux !
    — Nos sexes, alors ?
    — Jamais, plutôt mourir !
    — Il nous serait facile de découper tout de suite de ta petite culotte, mais nous ne le ferons que lorsque tu nous auras suppliés de le faire.
    — Jamais !
    — Nous verrons bien. Timide, lis !
    
    Timide sort de sa poche une feuille de papier et se met à lire :
    
    Le prince s’approcha du lit de la belle endormie. Il admira ses formes parfaites, le galbe de ses seins, le fuselé de ses cuisses, le corail de son entrejambe qui n’avait jamais connu de visiteur. Il effleura les tétons roses, qui aussitôt devinrent plus gros. Il y porta les lèvres…
    
    Un prétexte pour qu’ils le fassent, pense Claire. Mais non, nul ne ...