Orgie Romaine
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
extracon,
freresoeur,
uniforme,
bain,
fête,
amour,
volupté,
hdomine,
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
ecriv_c,
Auteur: Pablo & Mariane, Source: Revebebe
... attendaient de confortables banquettes tapissées de velours. C’était le moment qu’attendaient les esclaves pour apparaître avec les mets raffinés choisis par leur maîtresse pour ce repas de gala. À moitié allongés, ils mangeaient et buvaient allègrement. Les plats se succédaient et Pablo contait ses exploits guerriers. Mariane, envoûtée, buvait goulûment ses paroles, fascinée par ce guerrier, tellement plus passionnant que son terne époux. Elle ne remarquait absolument pas les regards complices que Aemilia et Caius s’échangeaient discrètement.
Le repas touchait à sa fin. La maîtresse de maison frappa dans ses mains et une douce musique s’éleva dans la pièce. Mariane frappa de nouveau et une ribambelle de jeunes filles firent leur apparition en dansant avec grâce et légèreté. Elles portaient des robes blanches, presque transparentes et des colliers de fleurs. Certaines jouaient de la flûte, d’autres de la cithare ou du tambourin. Les plus jolies continuaient à faire onduler leur corps en harmonie avec la mélodie enchanteresse. Les convives profitaient de ce spectacle délassant d’un œil discret tout en continuant leur conversation.
Aemilia s’était allongée dans les bras de Caius qui lui faisait croquer un à un les grains d’une grappe de raisins. Le vin avait coulé à flot tout au long du repas, et leurs rires à tous deux trahissaient la douce ébriété qui s’était emparée d’eux. Elle se tortillait avec malice, approchant de plus en plus ses fesses du bassin de l’homme, ...
... qui feignait ne pas s’en rendre compte. Sa main, dans un premier temps posée sur ses hanches plantureuses, commençait à se promener avec de plus en plus de liberté sur un corps qui ne demandait que ça. Troublée, Mariane détournait consciencieusement le regard et se concentrait sur le spectacle des danseuses et sur Pablo. Le centurion se saisit d’une figue.
— Carthage… souffla-t-il d’un air rêveur. J’aurais aimé pouvoir me mesurer à Hannibal.
— Je pense plutôt à cette pauvre Didon, abandonnée par Enée, rétorqua la jeune patricienne.
— Est-ce si important l’amour ?
Elle haussa les épaules et baissa les yeux.
— Aimez-vous Marc ? poursuivit le centurion.
— Comme une épouse doit aimer son époux.
Il éclata de rire.
— Je vous comprends. Il n’est jamais là, vous devez souvent oublier qu’il existe !
— Et quand il est là, il ne daigne même pas passer la nuit avec moi ! ajouta Mariane.
Elle rougit instantanément, se rendant compte après coup de l’inconvenance de son discours. Toutefois le soldat ne s’en offusqua pas le moins du monde. Bien au contraire, il sut parfaitement profiter du moment de faiblesse de son hôtesse pour se montrer plus familier avec elle. La main de Pablo vint caresser la joue de la jeune femme, descendit le long de son cou, sur ses épaules. Mariane ne sut que fermer les yeux en sentant le frisson qui parcourut son corps. Elle sentait qu’elle succombait, sans trouver la force de résister. Mais voulait-elle vraiment résister ? … Après tout, les ...