Orgie Romaine
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
extracon,
freresoeur,
uniforme,
bain,
fête,
amour,
volupté,
hdomine,
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
ecriv_c,
Auteur: Pablo & Mariane, Source: Revebebe
... bouche gourmande, d’une langue espiègle, de dents qui ne lui voulaient que du bien… C’était au tour de Mariane de faire onduler ses hanches maintenant, sous l’emprise d’un plaisir qui se manifestait de plus en plus intensément. Aemilia était satisfaite de sentir l’excitation de sa sœur et elle en profita pour faire descendre ses doigts un peu plus bas pour se glisser le long du sillon intime et mystérieux qui naissait au bas de ses reins et qui allait se perdre entre ses cuisses. Elle aimait lorsque sa sœur devenait toute molle entre ses bras, lorsque ses chairs devenaient souples sous les caresses, lorsqu’elle parvenait à s’immiscer sans résistance dans les moindres recoins de son anatomie. Lorsqu’elle sentit le petit orifice secret au bout de son majeur elle ne chercha pas à descendre plus bas et se concentra sur un habile massage dont elle connaissait l’issue.
Mariane se sentait prise dans un tourbillon d’exquises sensations de plaisir. À la douce caresse de la bouche sur son sein répondait le massage plus insistant du doigt qui jouait entre ses fesses, massage modulé au gré de l’ondulation de ses reins. Du même coup, son bas ventre frottait délicieusement contre celui de sa grande sœur, et la jeune fille ne savait plus trop quelles images elle avait dans la tête pour concrétiser les fantasmes qui l’habitaient, les visages et les corps se succédaient. Tantôt le corps androgyne d’un des récents amants d’Aemilia, que l’aînée avait essayé de jeter dans ses bras. Tantôt le ...
... corps viril et puissant d’un esclave numide, trophée que son mari avait ramené de sa dernière campagne en Afrique, sur les terres de la reine de Saba. Tantôt le corps de sa sœur, qu’elle apprenait à redécouvrir maintenant, et qui avait tellement changé depuis leurs innocents jeux d’enfants. Tantôt… le tourbillon n’en finissait pas. Elle se sentait emportée comme par une tornade, ne s’entendant même plus gémir, soupirer, ne se rendant même pas compte que ses mouvements provoquaient des raz de marée dans la petite baignoire qui commençait à déborder. L’orgasme qui finit par éclater au creux de son ventre fut pour elle une délivrance après cette délicieuse et insupportable étreinte.
L’esclave reparut avec de l’eau froide cette fois-ci. Les patriciennes n’y prêtèrent pas attention et restèrent encore enlacées un long moment.
— Il vaut mieux sortir avant d’être toute fripée, déclara enfin Aemilia en observant ses doigts.
Elles se levèrent et on les aspergea d’eau glacée. Elles frissonnèrent, et quatre tétons se redressèrent fièrement.
— Quelle indécence ! s’écria l’aînée en riant et en plaquant une main sur un sein, l’autre sur son sexe.
Mariane lui donna une tape sur les fesses pour lui indiquer qu’elle avait omis de dissimuler sa croupe provocante. Aemilia ne se sentit pas le moins du monde concernée et laissa simplement l’esclave l’envelopper dans une serviette moelleuse, bientôt imitée par sa jeune sœur.
Après avoir été méthodiquement frictionnées et séchées, ...