Orgie Romaine
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
extracon,
freresoeur,
uniforme,
bain,
fête,
amour,
volupté,
hdomine,
pénétratio,
Partouze / Groupe
historique,
ecriv_c,
Auteur: Pablo & Mariane, Source: Revebebe
... comme l’antique Troie, certaines places fortes cèdent si facilement après des années de siège… L’image de Marcus Fabius traversa un instant son esprit avant de disparaître. Il était loin maintenant, et il n’en aurait cure de toutes manières. Il serait bien ingrat de ne pas le remercier, après tout, si d’aventure il lui donnait un héritier et assurait la descendance qu’il n’était pas capable d’engendrer. Ce soir, Mariane était à lui et rien qu’à lui. Il la voulait toute entière, il voulait son corps. Il voulait toucher ses seins. Il défit les agrafes qui retenaient la robe aux épaules et après en avoir délicatement ouvert les pans, ses mains s’emparèrent de la poitrine menue et la caressèrent avec une douceur extrême, complètement à l’opposé de son sexe qui défonçait avec vigueur sa jeune chatte de patricienne en manque de mâle.
Mariane ne savait plus où elle en était. Elle n’avait jamais ressenti autant de plaisir : sa chatte trop bien remplie, presque malmené ; ses petits seins chouchoutés. Ces sensations à la fois contradictoires et pourtant complémentaires se mélangeaient dans sa tête et provoquaient un tourbillon des sens qui annonçaient la délivrance toute proche. Comme dans un rêve, dans le lointain, elle avait entendu sa sœur jouir et plus aucun bruit ne lui parvenait désormais de ce côté-là. Pablo, par contre, semblait de plus en plus excité. Il soufflait comme un bouc en rut, gémissait comme une bête. Il plongea son regard dans le sien. Elle se sentait comme une ...
... jeune vierge des légendes de la Crête ancienne, abandonnée dans le labyrinthe et subissant les assauts du Minotaure avant qu’il ne la dévore. Cette image dans sa tête, associée au regard de l’homme qui se vrillait dans le sien, agirent agit comme le catalyseur de son extase. La patricienne ne put plus se retenir un instant de plus. L’éruption tant attendue arriva enfin, dévastant son corps tout comme le Vésuve avait dévasté Pompéi. Mariane fut parcourue de tremblements incontrôlés, de successives vagues de plaisir qui se propageaient jusqu’à la pointe de ses orteils, jusqu’à la racine de ses cheveux. Elle était emportée par un orgasme comme elle n’en avait jamais connu au cours de sa jeune existence. Elle avait la sensation que cela ne finirait jamais, d’autant plus que son puissant amant n’en finissait pas ses allées et venues dans son ventre. L’Ibère finit toutefois par s’immobiliser au plus profond de son intimité et se pencha sur elle pour la gratifier d’un baiser passionné qui eut au moins le mérite d’étouffer ses gémissements de volupté.
C’est ainsi qu’il la laissa peu à peu descendre du Domaine des dieux jusqu’au bas monde. Mariane avait toutefois du mal à réaliser ce qui lui était arrivé et la lueur de ses yeux, son sourire radieux, trahissaient sa béatitude. Le soldat, toujours plein de désir, profita de son état pour la retourner. La jeune fille n’était plus en état de savoir si elle en voulait encore ou si elle était rassasiée, de se demander si elle devait avoir ...