1. Plaisirs de proximité pour Fati


    Datte: 21/06/2018, Catégories: fhh, ffh, extracon, Collègues / Travail collection, Masturbation 69, fdanus, échange, jeu, confession, totalsexe, couple+f, extraconj, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... de semaine. Elle portait de hautes bottes à talons et une robe noire moulante sans manches qui mettait en valeur ses formes. Elle nous a précédés dans l’escalier qui mène à son bureau et nous avons eu le loisir de voir ses jambes gainées de beige, ses fesses musclées, et dans le pli de la robe, le haut de ses Dim-up. Nous étions déjà tout excités.
    
    Elle nous a installés et a commencé à nous parler de nos comptes, de la retraite, et je ne voyais que sa bouche rouge dans laquelle j’avais envie de glisser ma langue.
    
    À un moment, elle s’est levée pour chercher dans son armoire un document sur les retraites ; elle s’accroupit, et sa robe remonta légèrement sur ses cuisses qui s’entrouvrirent un peu, montrant en haut des bas clairs un peu de chair blanche…
    
    Mon mari me sourit. Il pensait à la même chose que moi !
    
    Elle vint entre nos deux chaises, debout, appuyée sur le bureau pour nous commenter le document d’une voix rauque et profonde ; son souffle était court. Au même instant, je posai ma main sur sa fesse droite et mon mari ouvrit sa braguette pour sortir son sexe.
    
    Elle cria, ou plutôt gloussa :
    
    — Mais, ça ne va pas ! Vous êtes fous ! Pour qui me prenez-vous ? Je suis mariée !
    — Laissez-vous faire, dit Bernard ; nous avons très envie de vous !
    
    Mon mari continua de caresser les fesses et les cuisses de la jolie banquière ; ses mains se glissèrent sous la robe noire pendant que je me branlais doucement. Il a légèrement remonté la robe de Pascale et a passé un ...
    ... doigt sur son slip de satin blanc, accentuant la fente entre ses deux lèvres. Toujours debout, Pascale écarta un peu les jambes afin de faciliter le glissement du doigt mutin de mon homme. Elle exagéra la cambrure de ses reins ; le doigt s’insinua dans sa fente. Doucement, le tissu s’imbibait de ses liqueurs. Elle se mordit les lèvres pour ne pas geindre trop fort.
    
    — Allez Pascale, tu mouilles bien, tu es excitée ; suce mon mari si tu as envie : on ne dira rien !
    
    Elle sourit enfin. Elle s’accroupit devant lui, écartant maintenant largement les jambes ; je devinais sa petite culotte blanche… Elle glissa enfin la bite dans sa bouche. On voyait qu’elle n’en était pas à sa première pipe : c’était une experte dans l’art de l’aspiration et du massage de couilles. Elle tapotait ses joues avec la queue dressée, léchait la hampe longuement. Ses joues se creusaient, elle grognait, bavait un peu. Pascale enfonça la verge de Bernard au fond de sa gorge. Je me mis à genoux à côté d’elle et tentai de passer ma main dans sa culotte ; ses cuisses étaient toujours largement ouvertes.
    
    — Mais elle est toute mouillée, la banquière, et toute épilée aussi ! Tu aimes ça, petite vicieuse ?
    
    Avec ma deuxième main, je remontai la jupe de Pascale et glissai par derrière un doigt dans la raie de ses fesses, lui humidifiant le rectum de ses sécrétions vaginales.
    
    — Je vais t’enculer avec un, puis deux doigts, petite salope.
    
    Pascale était en transe. Mes grossièretés, au lieu de la bloquer, ...