1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (11)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... Oui ?
    
    — Quand on dansait, Karim à un moment était dans mon dos, vraiment... très très près et...
    
    — Et ? (mon cœur battait fort)
    
    — Et j’ai senti, enfin, tu vois, j’ai senti son sexe.
    
    Je n’ai rien dit.
    
    Elle regardait dans le vide.
    
    — Je pense qu’il était plus gros que ce gode... Bien plus gros même.
    
    Je ne savais pas quoi dire, je la regardais.
    
    — Et en plus, je ne pense même pas qu’il bandait vraiment !
    
    En revanche, moi je sentais que l’érection montait. Stéphanie l’a vu.
    
    — Ah, mais ça a l’air de te plaire que je te dise ça.
    
    Je n’ai rien dit.
    
    — Ca te plait ? Réponds moi !
    
    — ... Oui...
    
    — Je n’ai pas entendu.
    
    — Oui, oui ça me plait.
    
    — J’ai senti sa grosse queue contre mes fesses, et toi tu bandes en entendant ça... Pfff.... allez lèche moi je ne t’ai pas dit d’arrêter.
    
    Je me suis remis au travail. Elle mouillait de plus en plus.
    
    — Tout à l’heure quand tu es allé chercher la deuxième bouteille, il m’a proposé de les accompagner chez Victoria.
    
    Je me suis figé. Elle me regardait, calme, sereine.
    
    — Pardon ?
    
    — Il m’a dit qu’ils allaient continuer cette petite fête chez elle, et que j’étais la bienvenue.
    
    Je n’en revenais pas.
    
    — Et moi ?
    
    — Il n’a rien dit sur toi. Ah si il a juste dit : t’en fais pas pour Mat, il comprendra.
    
    — ...
    
    — Tu crois qu’il voulait dire quoi ?
    
    — Je... Je ne sais pas moi.
    
    — Fais pas cette tête, j’ai refusé.
    
    — Merci.
    
    — Ensuite il m’a dit que si je lui demandais, il laissait ...
    ... Victoria rentrée chez elle, et qu’il rentrerait avec nous et s’occuperait de moi.
    
    — Non ?
    
    — Si !
    
    J’étais détruit. Mille pensées me traversaient l’esprit, et je ne réalisais pas tout à fait ce qui était en train de se passer. Et surtout, un léger détail m’échappait. Mais pas à Stéphanie.
    
    — Mais c’est pas possible, tu bandes encore plus là ?!!!
    
    — Hein ? Euh... Non, non...
    
    — Oh si si, elle est petite, mais je vois quand même la légère différence quand tu bandes. T’aurais préféré que je lui dise de rentrer avec nous ?!
    
    — Non... non, je n’crois pa...
    
    — Tu ne crois pas ?!
    
    — Je veux dire, non.
    
    — Ton zizi dit oui. Et je peux te dire que je commence à regretter de lui avoir dit non.
    
    — Non non, mon amour, je vais te lécher, tu vas voir, je vais te donner du plaisir.
    
    — J’en doute. Mais j’ai une idée. On va faire un petit pari. Je vais te laisser me pénétrer ok ?
    
    — Oh, oui, merci mon amour.
    
    J’étais déjà quasiment sur elle.
    
    — Attends. Si tu tiens plus de trois minutes, tu gagnes. Si tu tiens moins, je gagne et tu auras un gage.
    
    — Et si je gagne, je gagne quoi ?
    
    — M’avoir fait l’amour ne te suffit pas ????
    
    — Si si bien sur.
    
    Je ne pense pas avoir jamais bandé aussi fort qu’à cet instant là. Elle me regardait, elle a glissé le gode dans sa bouche, elle se caressait les seins à travers la nuisette et a écarté les jambes. Pour moi ! J’essayais de me calmer, de bien respirer, je me suis approché et ai déjà senti le plaisir monter quand mon ...
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