1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (11)


    Datte: 20/06/2018, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... pas ça Mat, te force pas.
    
    — Ok.
    
    — T’inquiètes, on danse un peu. Ok ?
    
    — Oui mon amour.
    
    Elle s’éloignait.
    
    — Je t’aime.
    
    Elle était déjà loin. Elle a rejoint Victoria et Karim, ils ont dansé pendant une bonne demi-heure. Je les attendais à la table, en essayant de les voir. Karim était tactile avec Stéphanie aussi, mais ça avait l’air de rester raisonnable. Ils sont revenus à la table, les trois enlacés. Hilares. Ils ont repris leur place au même endroit sur la banquette. J’ai servi le champagne. Ils ont fini la bouteille et Karim m’a demandé d’aller en reprendre une autre.
    
    Je suis allé au bar, ça m’a de nouveau pris plus d’un quart d’heure pour l’avoir, je me faisais passer devant par des mecs plus grands et costauds que moi, qui ne me voyaient même pas apparemment, et par des filles perchées sur des talons, qui me regardaient de haut, regards plein de pitié.
    
    Quand je suis revenu, Karim s’est levé, m’a pris la bouteille des mains et lui et Victoria nous ont dit qu’ils rentraient chez elle. Karim nous a dit qu’il nous retrouverait le lendemain matin chez nous, et qu’on irait comme prévu aux bain de Lavey. En partant il m’a dit :
    
    — T’achèteras les croissants demain matin, je risque d’avoir la dalle ok ?
    
    Puis il s’est tourné vers Stéphanie et j’ai cru entendre:
    
    — Pense à moi avec ton petit cadeau d’hier !
    
    Ils sont partis avec la bouteille de champagne.
    
    On est rentrés de notre côté, Stéphanie n’a pas décroché un mot jusqu’à la maison, puis ...
    ... elle s’est démaquillée et mise en nuisette, et au lit ; j’étais déjà au lit quand elle est arrivée à son tour.
    
    — Ca va mon amour ? Tu as l’air préoccupée depuis tout à l’heure ?
    
    — Oui oui ça va.
    
    — Tu aurai voulu danser encore un peu.
    
    — Non ça va j’étais crevée, et ils voulaient rentrés de toutes façons
    
    — On aurait pu danser tous les deux.
    
    — Ah ah oui, c’est ça. Désolé Mat, mais tu ne joues pas dans la même catégorie que Karim.
    
    J’ai baissé les yeux, j’étais en boxer.
    
    — T’as nettoyé le gode ce matin comme je t’ai demandé.
    
    — Oui, oui bien sûr.
    
    — Vas me le chercher.
    
    Je l’avais mis dans son tiroir de table de nuit, je me suis levé, ai fait le tour du lit, et lui ai donné le gode. Elle l’a pris délicatement, l’a regardé presque avec amour.
    
    — C’est incroyable, il est énorme.
    
    — Euh oui.
    
    — Montre moi ton zizi, on va comparer, juste que je me rende compte.
    
    — Il est plus gros pas la peine.
    
    — Pardon ? Depuis quand tu n’obéis plus ?! C’est nouveau ça. Allez sors le.
    
    J’ai baissé mon caleçon. Elle a souri.
    
    — Ah oui en effet, pas de doute il est plus gros.
    
    Elle a commencé à se détendre, écarter les cuisses et se caresser doucement. Elle léchait lentement le gode en même temps. Elle m’a regardé.
    
    — Lèche moi Mat.
    
    Je me suis rué sur sa chatte. Et je l’ai léché, passionnément comme la veille. Elle léchait le gode. Elle a arrêté et ma tapoter sur le visage avec le gode couvert de sa salive.
    
    — Tu sais tout à l’heure en boite...
    
    — ...
«1234...»