Deux heures avant la fin (1) - Histoires de Sexe

Deux heures avant la fin (1)

... sa gorge en buée devant son visage. Il fouille son intérieur minutieusement, cherchant un angle meilleur pendant qu’elle se cambre. Le creux ombré de ses reins est irrésistible. Il lève une de ses jambes et maintient sa cheville contre son épaule, pour la prendre de côté. Elle est si souple...

Elle recommence à faire résonner sa voix contre les parois métalliques du pavillon. Ses sons se déforment à l’instar de son intérieur. Il la prend sauvagement, elle mouille de tout son possible contre lui. Il s’engouffre puissamment comme s’il voulait imprimer la forme de sa verge en elle. Elle se reforme sitôt qu’il ressort, et il la ré-écarte sitôt qu’elle se referme. Ses coups de reins la propulse chaque fois à un autre niveau. Il l’assaille jusqu’à la faire jouir quelques longues minutes. Il s’agrippe tendrement à ses seins, sent son petit cœur puissant se déchaîner, ses poumons s’emplir d’air froid et le réexpédier presque en vapeur. La forme de ses côtes, la finesse de sa peau douce, la chaleur de son être... Il ne peut pas se sentir au plus près de son soleil.

L’Américaine le repousse de nouveau lorsqu’elle n’en peut plus. Elle tire à eux cette chaise qui leur avait servi de support juste avant, et s’y installe sur le dos. Des pieds, elle caresse le torse de Sergei, pendant qu’il parcourt le long de ses douces jambes de ses mains chaudes. Il retourne embrasser sa petite chatte aux lèvres rougies, plus chaude, ouverte et luisante qu’auparavant. Elle se tortille sur ...

... elle-même, jusqu’à ce qu’il saisisse ses chevilles en se redressant. Il l’écarte, profitant de toute sa souplesse, pour laisser place à son sexe gourmand.

Leurs bouches se mêlent, leurs corps se lient, leurs esprits fusionnent. « Je t’aime !» lâche-t-il dans son cou. Il sait qu’elle ne saura lui répondre que par des bribes de mots éclatés par ses gémissements. Ses ongles griffent ses hanches, son torse, et quand il se penche sur elle ses morsures glissent sur ses trapèzes. Son petit corps est puissant, consistant. Elle accueille chacun de ses coups de reins en se contractant entièrement. S’il voulait s’échapper à son étreinte en cet instant, elle l’aurait broyé de désir.

C’est elle qui met fin à la prise pour se mettre à quatre pattes devant lui. Il suit ses désirs en posant un pied d’appui sur la chaise, puis lui fait avaler encore le fruit de ses orgasmes par sa fente désireuse. Le petit cul de Jane bouge d’avant en arrière, prolongeant son mouvement. Elle se balance contre lui, se cambre. « Ouh... Oh... Ooooooh... »

Il s’abandonne, la laisse guider. Il observe, envoûté, ses lèvres gonflées l’engloutir avidement. Elle s’empale sur lui, se fait glisser sur tout le long de sa verge huilée, le faisant râler de plaisir chaque fois qu’elle fait disparaître son gland dans son corps. Elle commence à jouir encore, se cambre et se redresse. Il encercle son corps, raffermit sa prise, une main sur ses seins, l’autre qui se referme sur sa gorge. Il embrasse le creux de son cou, caresse ...