Merci monsieur Cadbury ! - Histoires de Sexe

Merci monsieur Cadbury !

... à faire la toilette de ma cuisse !
— Hé ! Mais c’est qu’il y en a un paquet !
— Heureusement, je suis tellement gourmande !

Je passe mon index plusieurs fois sur ma cuisse pour recueillir chaque giclée et ma bouche finit délicieusement le nettoyage. Je me régale littéralement de son sperme à peine salé.

—oooOooo—

Nous reprenons nos esprits et par grandes inspirations de bien-être nous profitons de l’air étonnamment chargé de l’odeur de nos corps repus. La transpiration perle encore sur nos peaux moites tant nous avons été chauds. Nos sexes satisfaits retrouvent un repos apaisé.

— Charlotte, je ne t’imaginais pas si chaude et j’ai bien aimé t’aider pour ta disserte.
— Pas mal ton coup de main, Kevin et j’ai bien envie de rajouter :« Merci Monsieur Cadbury ! », mais c’est dommage que le texte ne soit pas plus long !
— Et si on se rajoutait un petit extra« hors sujet » ? Je fais livrer une pizza dans ma chambre et on s’installe pour une soirée « studieuse ».
— Un extra, c’est vite dit ! On va chercher une idée, mais pas question d’être en dehors du sujet à traiter !
— Charlotte, tu es une crème !
— Ouiiiii ! Tu me donnes une idée…
— Laquelle ?
— Si je suis« une crème », tu voudrais bien m’appeler« Babette » ? fraîche et ...

... bonne à déguster.
— OK, mais pourquoi ?

Au lieu de répondre tout de suite, je vais chercher dans mon armoire la petite corde que j’utilise en douce pour accrocher mon linge et le faire sécher durant la nuit. Puis avec un sourire jusqu’aux oreilles je la tends devant ses yeux.

— Tu te souviens de la pub de 2001 sur la crème fraîche qui disait :« Babette : Je la lie, je la fouette, et parfois elle passe à la casserole »
— Tu es géniale ! On s’habille vite fait et en traversant la cour entre nos deux bâtiments, on cassera une branche de noisetier. Ne t’inquiète pas, je ne suis jamais violent et j’ai du respect pour les femmes. Mais quel repas en perspective !

Sans attendre plus longtemps, nous remettons en ordre nos vêtements, et je pense que pour servir mon petit cul, ma chatte et ma bouche, il faudra bien toute la nuit.

Puis je souris en évoquant notre prof de philo, sans qui nous n’en serions pas là :

— Si Georges savait qu’on a fait son exercice de style mais de manière pas si philosophique que ça, je me demande ce qu’il en penserait.
— J’imagine que ça pourrait le faire sourire, surtout si on lui disait comment nous avons trouvé l’inspiration !
— Chiche que je lui demande ce qu’il en pense ?

Je sais que j’ai gagné d’avance…