Merci monsieur Cadbury !
Datte: 26/01/2018,
Catégories:
f,
h,
fh,
copains,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
nopéné,
exercice,
Auteur: Cheminamants, Source: Revebebe
... dans ma tête en plus du désir, pareil au feu qui m’a pris au ventre quand j’étais en face de Kevin.
—oooOooo—
Bon, voilà, voilà, il est temps que je me colle à ma dissertation, maintenant que je me suis mise dans une ambiance adéquate.
Je relis le sujet à traiter :
Wouhahouuu ! Rien que ça ! Il n’y va pas par le dos de la cuillère Georges, notre prof de philo.
(Sans lui manquer de respect, entre étudiants, on le nomme par son prénom quand on parle de lui.)
Au secouuuuurs Georges !
Machinalement je croque dans un «Finger » et je le savoure avec un tel plaisir que l’envie me prend de me régaler encore…
Et lorsque je sors à nouveau un bâtonnet, il me vient cette idée en pensant à mon prof :
Vraiment tout le contraire de mesFingers, tellement bons, enrobés de chocolat qu’on reste frustré. Je me souviens du petit garçon de la pub qui disait :
—oooOooo—
J’examine de plus près le biscuit que je tiens dans la main, en espérant ne pas faire fondre le chocolat avec la chaleur de ma peau. Mon imagination vagabonde et les mots s’imposent à moi comme des évidences. J’associe alors le bâtonnet à un sexe d’homme, la gourmandise à la tentation et le désir à l’envie sexuelle. Je réalise enfin que tout cela peut me servir pour ma disserte, pour peu que je trouve un texte avec une ambiance érotique…
Hummm, si seulement j’avais aussi un complice pour réaliser mon fantasme de dévorer une telle gourmandise masculine !
—oooOooo—
Maintenant, il est ...
... temps que je trouve un texte qui me plaise et je cherche un bon moment sur internet.
Voilà je l’ai trouvé ! Compliqué, tordu, mais il parle des bâtonnets de manière suggestive. Je fais un copier-coller et hop ! Le voilà sur ma pageOpenOffice Writer en complément de toutes mes pensées inscrites jusqu’à présent :
—oooOooo—
Je le relis en me demandant si ça va plaire à Georges.
Mince, on frappe ! Et ça tombe juste quand je commence à avoir des idées plein la tête !
Puis j’entends :
— Tu es là Charlotte ?
Tiens, quand on parle du loup… C’est Kevin, mon copain de classe de la fac qui est loin de me laisser indifférente. Il a, lui aussi, une chambre dans le bâtiment d’à côté. Je commence par penser :« Qu’est-ce qu’il me veut ? C’est pas le moment ! » pour aussitôt moduler ma première impression en fouillant un peu plus dans ma boîte à désirs :« Bien que… avec un petit coup de pouce, ou tout autre doigt bien placé, il pourrait devenir mon complice si seulement il ressentait quelque chose pour moi ».
— Oui Kevin, je suis là, entre.
Je le vois embarrassé, sans doute pas plus que moi. Je ne bouge pas, gênée d’avoir toutes ces idées en tête et je lui propose ma chaise de bureau puis j’attends qu’il me dise ce qu’il me veut.
— Tu es occupée, Charlotte ? Que fais-tu ?
— La disserte et je suis contente d’avoir enfin trouvé un texte.
— C’est justement pour ça que je viens te voir.
— Ah bon…
— Tu me fais voir ton travail, moi je suis chocolat avec Georges, ...