1. Ma jeune voisine la partouzeuse


    Datte: 18/06/2018, Catégories: Hardcore, Partouze / Groupe Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... choquer, c’est tout. »
    
    « Il en faut beaucoup pour me choquer, dis-je avant de prendre une gorgée de bière à mon tour. »
    
    « C’est vrai ? dit Mylène. Vous avez déjà partouzé ? »
    
    « Quand j’étais étudiant, ça m’est arrivé. »
    
    « Et ensuite, plus rien ? »
    
    « Si, mais dans d’autres contextes. »
    
    « Lesquels ? »
    
    J’ai pris mon temps pour répondre :
    
    « Dans des clubs. »
    
    « C’est vrai ? dit-elle avec un grand sourire. Dans cette ville ? »
    
    « Oui. »
    
    « Vous me diriez dans quels clubs ? »
    
    « Pourquoi, ça vous intéresse ? »
    
    Elle a haussé l’épaule en disant :
    
    « Ben, je me fais des clubs de temps en temps. Ça m’est encore arrivé la semaine dernière. Mardi soir. Je tournais en rond chez moi, alors j’ai décidé de me faire un club. »
    
    « Lequel ? »
    
    « Le sauna Eros. C’est le plus proche d’ici. Vous connaissez ? »
    
    « Oui, j’y suis allé deux ou trois fois. Avec une exe copine. De mémoire, il y a surtout des hommes. »
    
    « Oui, dit Mylène. C’est bien pour ça que j’y suis allée. Mais il y avait une poignée de femmes aussi. »
    
    J’ai pris une gorgée de bière. J’étais toujours debout et il s’était mis à pleuvoir. La pluie battait les vitres du studio de ma jeune voisine qui, voyant que je ne disais rien, ajouta :
    
    « Si ça se trouve, on s’est déjà croisés là-bas ? Ça remonte à quand ? »
    
    « Je dirais deux ans, dis-je en la regardant. »
    
    « Deux ans… répéta-t-elle. J’y allais déjà. J’étais mineure et j’utilisais la carte d’identité d’une copine. A l’entrée, ils ...
    ... vérifient la date de naissance sans s’attarder sur la photo. »
    
    Je me suis mis à bander comme il faut.
    
    Et Mylène ajouta :
    
    « Si ça se trouve, vous m’avez sautée ? »
    
    J’ai terminé ma bière en la regardant dans les yeux.
    
    La pluie cognait fort contre les carreaux. On entendait une sirène de police qui filait dans une rue proche, et des klaxons. Mylène était assise à l’endroit exacte où je l’avais vue deux jours auparavant, à poil, empalée sur une bite, avec ses gros nichons qui pendaient fièrement sur son ventre.
    
    Je ne lui ai pas répondu.
    
    Alors elle a dit :
    
    « Vous avez envie de me sauter ? »
    
    Une minute plus tard, j’enfonçai ma bite dans sa chatte épilée. Elle était trempée et je n’avais pas mis de capote. Mylène se branlait le clitoris et je palpais son nichon gauche qui avait la consistance d’un flan à la vanille.
    
    On a continué de parler ensemble. De clubs, de partouzes. Mais je lui avais menti : je n’avais jamais mis les pieds dans ce sauna. J’étais seulement passé devant en essayant d’imaginer ce qui pouvait s’y passer pendant ces instants. Combien de corps dénudés derrière ces murs. Combien de chattes en train de se faire pénétrer, pendant que moi j’allais faire mes courses dans un supermarché sinistre.
    
    J’y mis les pieds le lendemain soir, en compagnie de Mylène. C’était un mercredi, il n’y avait pas grand-monde. Sept hommes et une femme. J’ai sauté la femme pendant que Mylène se faisait défoncer à deux mètres de moi.
    
    Le lendemain, Mylène m’a ...