Ma jeune voisine la partouzeuse
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
Hardcore,
Partouze / Groupe
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... sera ouverte. »
J’ai éclaté de rire, puis elle a ajouté :
« A tout de suite. »
J’ai fait mes courses en quatrième vitesse. J’ai pris des bières et de quoi me nourrir deux ou trois jours, sans cesser de penser aux nichons et à la chatte de ma jeune voisine.
J’ai frappé à sa porte une demi-heure plus tard.
Une voix m’a demandé d’entrer et j’ai ouvert la porte. Le canapé était désert cette fois-ci. Mylène se tenait devant un petit bureau sur lequel un ordinateur portable était ouvert.
« J’en ai pour trente secondes, dit-elle. »
Un appartement d’étudiante, me suis-je dit. Sobrement meublé, avec des photos et des affiches de films collées aux murs. Des livres et des chemises cartonnées empilées au sol. Des habits étendus sur un sèche-linge, près de la fenêtre, dont deux soutifs noirs en dentelle et au moins trois culottes, dont une rouge transparente.
J’ai posé deux bières sur la table basse, puis j’ai observé Mylène qui me tournait le dos. Elle portait un débardeur blanc ce jour-là, d’où dépassaient les bretelles d’un soutif orange. Un vieux jean décoloré et l’élastique d’une culotte noire juste au-dessus de la ceinture. Une bonne paire de hanches.
Elle s’est levée d’un seul coup et s’est tournée vers moi, puis vers la table basse, en disant :
« Ce n’était pas la peine d’emmener des bières, j’en ai plein au frais. »
« Vous n’aurez qu’à les garder, dis-je. »
« Bon… fit-elle. Asseyez-vous. »
Puis elle me tourna le dos de nouveau pour ouvrir ...
... son frigo dont elle sortit de cannettes de Leffe en disant :
« Je suis encore désolée pour l’autre soir. »
« Mais non, c’était à moi de faire attention. Je n’avais pas l’esprit bien vif et j’étais fatigué. »
« Vous voulez un verre ? dit-elle. »
« Non, ce n’est pas la peine. Merci. »
Elle répéta :
« Asseyez-vous. »
Je me tournai vers le canapé, et là encore je ne pus pas m’empêcher de repenser à la partouze que j’avais surpris deux soirs auparavant. Je n’ai pas bougé, je me suis tourné vers Mylène qui souriait.
Elle m’a alors dit :
« Pardon, je comprends. Vivement que j’ai les moyens de me payer un appart’ plus grand. Je fais tout dans ce canapé : je dors, je prends l’apéro, je regarde des films, je me masturbe et je baise. La vie d’étudiante quoi… »
« Le studio au-dessus de nos têtes a exactement les mêmes dimensions que celui-ci, Mylène, et je ne suis pas étudiant. C’est un choix de ma part. Je ne me sens bien que dans les petits espaces. »
J’ai levé ma cannette et on a trinqué.
Puis Mylène a dit :
« Je me suis demandé ce que vous aviez pensé de moi, du coup, après ce petit accident. J’espère que vous ne m’avez pas jugée. »
« Jugée ? Pourquoi ? Vous êtes libre de faire ce que vous voulez, avec qui vous voulez. Vous êtes chez vous. »
« Oui, mais quand même… »
« Quand même quoi ? »
« Ben… dit-elle. On partouzait. »
« Et alors ? »
Elle a pris une gorgée de bière sans me quitter des yeux, puis a dit :
« Ça aurait pu vous ...