Le journal des Glénants : deuxième partie
Datte: 18/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
cocus,
piscine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
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lettre,
lettres,
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Auteur: Flamarviec, Source: Revebebe
... accepté. Ta présence autour de moi était un excitant car elle ajoutait l’émotion de l’amour à mes jouissances provoquées par les autres. Dès les premiers jours de notre arrivée, Pierre me sodomisait mais il me le faisait désirer à tel point qu’il n’a jamais eu à me forcer. Je n’avais pas toujours un orgasme lorsqu’il « m’enculait » (comme il disait) mais il me donnait chaque fois du plaisir. Lorsqu’il me provoquait un orgasme c’était presque toujours impressionnant. La montée du plaisir surtout était presque angoissante. Le pire des orgasmes ou plutôt le plus exaltant, le plus éprouvant, le plus enthousiasmant, m’est tombé dessus une des rares fois où tu étais présent lorsque Pierre me prenait. Pour une fois il m’avait mise à quatre pattes, ce qui était très inhabituel et je te faisais face. Avant de me presque évanouir de plaisir et de spasmes j’ai eu le temps de lire dans tes yeux la peur, l’amour, la joie, l’admiration, l’affolement que mon orgasme envahissant provoquait en toi. Je crois que je ne t’ai jamais autant aimé. C’est à cet instant que j’ai su que ce serait fini de Pierre et des Glénants. Après notre retour ce serait à toi et à toi seul de me donner toutes ces émotions, de la manière qu’il te plaira, quand tu le voudras et où tu le souhaiteras. J’ai soudain eu hâte que tu me sodomises toi aussi, que tu t’enfonces au-delà de ma gorge. Avec l’amour en prime je sais que ce sera incomparable.
Les autres, en fait, il n’y en eu pas beaucoup. Pierre, bien sûr qui ...
... me sodomisait au moins deux à trois fois par jour et à qui je garderai toujours un brin de reconnaissance pour sa délicatesse, notre hôte qui ne m’a fait l’amour qu’avec ses yeux, des copains de Pierre, toujours en sa présence qui m’ont caressée, ont éjaculé dans ma bouche mais n’ont pénétré ni mon vagin, ni mon anus.
Quand j’y songe je me rends compte que pendant ces mois, je n’ai jamais senti le besoin d’une caresse sur mon sexe ou mon clitoris. La sexualité que m’imposait Pierre m’occupait tout entière. Quand je dis « m’imposait », il ne faut pas croire que Pierre me forçait à quoi que ce soit. Il a toujours été à mon écoute. Pour cela je l’ai, je crois, un peu aimé. Non, Marc, ton seul rival fut Éric. Si les autres ont tiré de moi des orgasmes impressionnants, ils n’ont pas laissé dans mon cœur et, d’un certain point de vue dans mon corps, de traces certaines. Par contre si je ferme les yeux je ressens toujours la caresse des mains d’Éric sur mes seins. La seule caresse qu’il m’ait faite et que je n’aurais pas voulu qu’il prolonge.
Puis il y a eu Gabrielle. Une curieuse situation. C’était moi, le presque garçon qui aurait dû la draguer comme l’espérait un peu Pierre. Non, ce fut elle mais à la manière d’une fille, non, d’un garçon, avec ce don qui n’appartient qu’à nous. Nous avons très peu fait l’amour et ce fut infiniment doux. Elle m’a fait jouir avec les pointes de mes seins. C’est tout de même moi qui ai pénétré son vagin de mes mains et qui lui ai donné un ...