Voyage
Datte: 17/06/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
bain,
forêt,
volupté,
Oral
nopéné,
Auteur: Erthael, Source: Revebebe
... à côté de l’eau… le mauvais, il faut croire, car l’élan du désespoir nous fut fatal… Et nous retombâmes « once again » dans la source… plus dure sera la chute. Aussitôt, je décidai de tenter le tout pour le tout et, basta, je l’embrassai sur le front. Nous émergeâmes, elle me regarda un instant, cherchant sans doute une attitude démentant mes actes. Sa recherche fut vaine, aussi se serra-t-elle contre moi… Un peu gêné, sans doute, et surtout énormément confus, je dis :
— Il faudrait inventer des vêtements qui ne collent pas lorsqu’ils sont mouillés…
Elle devait avoir pris une décision, car elle sembla s’éclairer d’une joie nouvelle.
— Et, me dit-elle malicieusement, où serait le plaisir de les enlever, alors ?
— Et la morale ?
— Au diable la morale !
— Et l’éthique ?
— Au diable l’éthique !
— Et la pudeur ?
— La pudeur dit-elle soudain doucement, à moins que tu n’en aies, au diable la pudeur.
Ce disant, elle m’embrasse, tendrement interrogative. Nos yeux se cherchent, se trouvent, se fuient avant de se retrouver puis de se perdre à nouveau, pour enfin s’ancrer les uns dans les autres et se figer ainsi. Nos nez se touchent, s’effleurent, se caressent mais ne se quittent pas, se frottent mais ne s’éloignent pas, se respirent, se sentent, mais ne se perdent pas. Nos mains découvrent nos corps, glissent, frôlent, s’égarent, se repèrent, et sous mes doigts se profile un nouveau relief tout en courbes et en douceur, traversé en long, en large, visité et revisité, ...
... adoré, adulé par cet organe, ma main, qui s’éveille, naît, fait ses premiers pas dans une explosion de perceptions nouvelles.
Je quémande son autorisation, mais cela fait longtemps que nous nous sommes mutuellement donné carte blanche ou tout autre couleur parmi celles qui flottent dans cette aura magique qui nous entoure… Alors je brise le contact de nos yeux et de nos nez, et je l’embrasse sur les paupières, la droite, puis la gauche, passe par le nez, les pommettes puis la bouche. Elle tente de m’emprisonner, mais j’ai une carte à tracer, alors je continue. Sans quitter sa peau, mes lèvres se déplacent vers son cou, puis en spirale vers sa nuque. Elle a un frémissement, léger mais perceptible. Je lui baise les omoplates, me fixe sur la colonne vertébrale que je descends en zigzaguant, et en expirant légèrement, ce qui la fait réagir langoureusement… Arrivé à la raie de fesses, je me dirige vers le nombril et remonte, abdomen, cage thoracique et, poitrine. Je m’y attarde, jouant avec ses sensations comme avec les miennes, puis je commence à redescendre.
Elle se recule, je m’avance, elle continue, m’invitant à une sorte de loup où l’enjeu est l’amour… Elle arrête de fuir une fois sur la berge et commence à relever son tee-shirt. Je l’arrête, embrasse ses poignets, puis finis ce qu’elle avait commencé, prenant bien soin de la caresser en même temps que le tissu. Elle se cambre légèrement, puis m’embrasse, tout en me caressant le torse. Ses mains fraîches m’enlèvent mon ...