Caméra cachée - Histoires de Sexe

Caméra cachée

... signal.
— T’as raison, il est nul et y a pas grand-chose d’autre, comme tous les étés. Au fait, demain je dois aller voir ma tante, le matin. Je ne vais pas t’imposer ça. Je vais essayer d’éviter de me faire inviter à midi mais je ne suis pas sûre de pouvoir refuser. Si tu ne me vois ne pas arriver, mange sans m’attendre. On fera un truc dans l’après-midi.
— Très bien, ne rien faire le matin me va très bien aussi.

Sur ces mots d’une grande philosophie, je monte dans ma chambre. J’entends Damien suivre le même chemin peu après. Évidement la petite lumière sous la caméra s’allume dans les minutes qui suivent. Je n’attendais que ça pour me dévêtir un peu. Prenant bien soin d’être dans le champ de la caméra, je déboutonne ma jupe dans mon dos, elle glisse le long de mes jambes jusqu’à mes pieds. Je l’enjambe, seule ma petite culotte brésilienne masque encore la partie basse de mon corps. Je me plie en deux pour attraper ma jupe en montrant mon cul à l’objectif. Je reste plus que nécessaire dans cette position et je me redresse. Je passe mes doigts sous l’élastique du slip et le fais glisser vers le bas, je suis toujours dos à la caméra. C’est seulement lorsque le petit bout de lingerie me tombe sur les chevilles que je me tourne pour faire face au regard présumé de Damien. Je ne porte plus que mon top moulant sur le dos. Comme il est assez court, il s’arrête au niveau de mon nombril, je me donne une petite caresse sur mon ventre arrondi tout en marchant dans la chambre, ...

... occupée à ranger ce qui traîne.

Après le repas du soir et mon show actuel, je sens mon sexe s’électriser et s’humidifier de plus en plus. Soudain on frappe à la porte et Sylvie entre, en même temps que je dis un oui interrogatif.

— Je voulais voir ce que tu avais amené comme bouquins ?
— Regarde, je les ai tous laissés dans ma valise.
— Ok ! Mhhh, dis-donc, tu es splendide comme ça !
— N’est-ce pas ? Disant cela, j’écarte les bras en prenant une pose subjective.
— Tu vas me faire craquer, dit Sylvie en s’approchant de moi.

Ses mains se posent sur mes fesses à l’air et son regard brille d’un feu que je commence à connaître.

— Chut ! Damien est là, je te rappelle.
— Il a dit qu’il était crevé, il doit déjà dormir, sa chambre est éteinte. J’ai regardé en passant.
— Tu es sûre ? Et je jette un œil à la caméra toujours bien allumée.
— Mais oui ! Et puis tu m’as excitée ce soir, grosse coquine.

Ses mains me caressent les fesses de plus en plus vivement. Une les quitte pour venir au contact de mon sexe.

— T’es déjà toute trempée, espèce de grosse cochonne !
— Les fesses sont très érogènes chez moi.
— Vraiment ?

Ses doigts rentrent plus profondément dans mon fessier à la recherche de la confirmation, confirmation que j’apporte immédiatement. Bien sûr, j’ai toujours à l’esprit que cela se passe sous l’œil électronique de la caméra.

— Mhhh, tu me fais un bien fou.
— Je vois ça…
— Tu sais, il m’est arrivé de jouir rien qu’en prenant des claques sur le ...