1. Un aller pas si simple...


    Datte: 17/06/2018, Catégories: fh, inconnu, fépilée, bain, Oral init, Auteur: Une Coquine, Source: Revebebe

    ... Je te ramène, mais on passe par les bords de Loire. À cette heure, il n’y a plus de circulation et la route est beaucoup plus jolie.
    
    Sans hésiter elle enfourcha le bolide, se serrant contre Nicolas. Ils prirent la route qui bordait le fleuve endormi, admirant le soleil couchant sur l’eau et profitant de ce moment magique. Il sentait les longues jambes cuirassées de la belle l’enserrer. Elle fermait ses bras autour de la taille de son motard quand elle se risqua finalement à desserrer son étreinte pour aventurer une main baladeuse, bien décidée à troubler Nicolas. Elle descendit de la taille vers la cuisse puis se dirigea vers l’entrejambe où elle ne tarda pas à découvrir la virilité de cet homme encore inconnu la veille. Nicolas se laissa faire sans sourciller mais n’en pensant pas moins… Quelle femme, sensuelle et câline… Il ne pouvait pas la laisser partir ainsi. Il songeait à un moyen de prolonger leur escapade. Il ralentit et s’arrêta à hauteur d’un belvédère offrant une vue splendide sur le fleuve aux eaux noires. Il faisait bon et le calme régnait ; seuls quelques limicoles chassaient encore à fleur d’eau. Un banc à la peinture écaillée les attendait en contre-bas à la lisière du sable. Ils décidèrent de descendre se poser un peu avant de reprendre la route ; rien ne les pressait.
    
    À peine étaient-ils assis que les lèvres de l’Apollon se posèrent dans le cou de sa belle, électrisant tout son corps dans les moindres recoins. Elle sentit ses seins se durcir, ses ...
    ... tétons s’ériger, et ses doigts n’y tenant plus tentaient de découvrir chaque parcelle de ce nouvel amant. Bientôt des vêtements jonchèrent le sol. Les corps s’entrelaçaient, les peaux brûlantes et sensibles se frôlaient, les caresses se firent plus intenses et les baisers plus fougueux. La panthère, de cuir vêtue, prit place face à Nicolas ; envoûtée par tant de frénésie, elle commença à lui déboutonner son pantalon. Lentement mais sûrement elle parvint à ses fins, mettant à jour l’objet de ses convoitises. À la vue du membre raide, elle sentit une vague de chaleur l’envahir, partant de son entrecuisse et irradiant tout son être. Tout en la regardant droit dans les yeux, Nicolas lui prit la main, l’incitant à le caresser. Elle ne se fit pas prier et s’exécuta. Les doigts fins et agiles d’Emma enveloppaient toute la queue devenue dure et chaude.
    
    Pendant ce temps, Nicolas avait libéré de ses entraves la magnifique poitrine d’Emma qui s’agitait à chaque mouvement de va-et-vient de sa main sur le chibre tendu. Sa peau était douce, son odeur enivrante, et ses tétons durs ne demandaient qu’à être sucés, tétés, caressés. Nicolas passait d’un sein à l’autre, ne s’interrompant que pour émettre un souffle de plaisir.
    
    Sans tarder, Emma se mit à genoux devant Nicolas, l’obligeant à se lever, et commença à approcher sa bouche de son sexe. Sa langue entama de petits mouvements circulaires de plus en plus rapides pour finir par avaler tout son bout dans sa bouche. La tenant fermement par ...
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