1. Ca a commencé comme ça ! (23)


    Datte: 16/06/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Gigi11, Source: Xstory

    ... qui me baisait comme une pute, ma jupe retroussée sur mon ventre ......
    
    Il me fouillait le ventre en lents va et vient qui me faisaient gémir.
    
    Tu aimes ça ma salope, hein, je te fais du bien !!!!
    
    Ah oui, c’est boonnn, !
    
    Son épaisse toison griffait tendrement mon ventre, humm, j’aimais çaaa!!!!
    
    Il avait glissé ses mains sous mon top, empaumant mes seins, pinçant mes tétons durcis ....
    
    J’adore tes petites miches. Elles tiennent juste dans la main .....
    
    J’haletai de bonheur, j’avais tellement envie d’être prise comme ça ......
    
    Puis il s’est agité plus rapidement, s’enfonçant tout en moi.
    
    Ses bourses bien dures tapaient sur mes cuisses à chaque coup de reins, puis il s’est affalé sur moi, le souffle cours, m’écrasant de son poids.
    
    Nous sommes restés un long moment immobile, reprenant notre souffle.
    
    Dans mon ventre, je sentais son pieu de chair décroitre lentement.
    
    Oh noonnnn, il ne m’a pas fait jouir le salaud !!!
    
    J’étais frustrée, les sens inassouvis.
    
    Enfin, il a posé un baiser sur mes lèvres et s’est levé.
    
    Il a retiré le préservatif et l’a posé sur mon ventre en disant ...
    ... :
    
    Tiens, cadeau ! Heureusement que j’ai mis ça, sinon je t’aurais rempli le ventre !
    
    Il s’est rhabillé.
    
    Je viens souvent dans le coin, j’espère qu’on se reverra, j’aime bien les petites salopes comme toi !
    
    Puis il a déposé quelques billets sur le lit et a quitté la chambre.
    
    Je me suis recroquevillée, repensant à ce que je venais de vivre, sans honte ni regret.
    
    J’avais aimé sentir ses mains sous ma jupe dans l’escalier, voir dans ses yeux le désir, empaumer et pétrir ses boules bien dures, tenir à pleine main son sexe épais, le gober, l’avaler, le sentir au fond de ma gorge .....
    
    J’avais aimé le sentir dans mon ventre, le voir jouir, mais il me manquait quelque chose, comme le bouquet final d’un feu d’artifice : sentir sa semence chaude irradier dans mon ventre.
    
    J’ai déposé la clé au comptoir et suis sortie dans la rue.
    
    J’ai retrouvé ma voiture, et conduisant comme un automate, j’ai regagné la maison.
    
    Je n’avais qu’une idée en tête : que Bobby soit rentré, qu’il me prenne comme sa chienne et qu’il gicle tout au fond de mon ventre de longs jets de sperme chaud à m’en faire crier de bonheur. 
«123»