1. France Rurale (1)


    Datte: 16/06/2018, Catégories: Gay Auteur: Calinchaud, Source: Xstory

    ... m’accueillait.
    
    L’an dernier, je me sentais déjà attiré par les hommes contemplant mon père et mes deux frères au travail, avec des pensées lubriques, que pour rien au monde, je n’aurais révélé. Mon frère Francis s’en était rendu compte et il m’avait attiré dans la grange pour me faire part de ses soupçons.
    
    Reniant mes tendances avec peu de foi, il avait sorti son sexe, bandé au maximum, l’avait mis dans ma main, et voyant mon accord tacite, avait enfourné son énorme pieu dans ma bouche. Je l’ai ainsi sucé plusieurs fois, en y prenant un plaisir certain, jusqu’à ce que cela ne lui suffise plus.
    
    Peu de temps après, il a pris ma virginité anale, et ne s’est pas privé de me culbuter, à chaque fois qu’il en avait l’occasion, me possédant sans cesse aussi bien dans le lit que nous partagions, que dans la grange ou dans les champs.
    
    — Marc, ça ne te gêne pas de dormir avec Jean pendant quelques jours ? Nos avons été débordés et ta chambre n’est pas encore prête.
    
    — Bien sûr que non Mons... Pierre.
    
    Comment j’allais pouvoir gérer ça... !!!
    
    — Content que cela te convienne alors.
    
    Thérèse et les garçons sont montés se coucher, mais il m’a gardé quelques instants auprès de lui, pour m’informer du travail que j’aurais à accomplir. C’était assez simple au début, et nous verrions après, selon mon évolution.
    
    En nous relevant, il m’a pris dans ses bras, en me serrant très fort contre lui, tête poussée vers son poitrail velu, son ventre incrusté contre le mien, me ...
    ... laissant deviner un membre d’une taille plus que conséquente, même au repos, et d’une épaisseur... inouïe...
    
    — Tu sais Marc, on a fait la guerre ensemble ton père et moi. Je le connais bien, et lui te connaît bien aussi. Tu dois bien te douter que Francis ne voulait absolument pas que tu partes, mais c’était la seule solution. Tu vas nous rendre très heureux mes fils et moi.
    
    — Je l’espère Pierre, je ferai mon travail au mieux.
    
    Dans un balbutiement incontrôlé et incontrôlable entrevoyant un avenir auquel je n’avais pas pensé, mais dont l’allusion à Francis m’en donnait une idée, ce qui m’effrayait quelque peu.
    
    — Va rejoindre Jean, il t’attend.
    
    En montant l’escalier, je réalisais que mon père m’avait vendu comme une bête à plaisir de ces hommes, qu’il savait que je me donnais à mon frère, et que mon rôle n’allait certes pas être uniquement celui de valet de ferme, mais aussi celui de leur offrir mon corps, comme je le faisais si bien avec Francis, y retirant à chaque fois, une jouissance extrême.
    
    Jean m’attendait sur son lit, tous poils dehors, revêtu d’un simple slip ne cachant son énorme barre que d’un tiers. Maintenant que Pierre m’avait informé de la principale raison de mon séjour chez eux, je me suis mis nu en quelques secondes et je me suis jeté sur ce mâle en rut, tout aussi avide de sexe que moi.
    
    Mes mains ont parcouru son corps velu, son membre dressé comme un menhir, le suçant, caressant ses couilles pendantes entre ses cuisses, débordantes de ...