1. Denise


    Datte: 15/06/2018, Catégories: ff, fsoumise, miroir, noculotte, Masturbation intermast, initiatiq, Auteur: Dame_Helia, Source: Revebebe

    ... côtes. Bloquée par le vêtement, il lui faut bien remonter, alors elle se décide. Je décèle de la curiosité dans ses yeux. Peut-être aussi est-ce la première fois qu’elle voit d’autres seins que les siens ? C’est vrai que nos poitrines sont totalement différentes. La sienne est majestueuse, très ferme encore mais quand même alourdie par l’âge. La mienne est de taille moyenne mais ma jeunesse permet encore à mes seins l’orgueil de pointer fièrement, sans besoin d’aucun soutien.
    
    Ses doigts partent à la découverte, ils palpent, tâtent, elle semble commencer à y prendre plaisir. Elle finit par pincer mes mamelons avec douceur et à les tortiller entre le pouce et l’index. De mon côté, c’est aussi une découverte. C’est la première fois qu’une main étrangère vient me caresser la poitrine. Des décharges nerveuses me parcourent le corps et s’accumulent entre mes cuisses que je resserre convulsivement. Je n’ai pas le droit de ma laisser aller. Il faut arrêter, immédiatement, je vais tout gâcher !
    
    — C’est ...
    ... bien. Merci Denise. Ce sera tout pour aujourd’hui.
    
    Elle me jette un regard bizarre, – frustration ? – se recule et reste là, figée, nue, à me regarder me rhabiller.
    
    — Je n’ai plus besoin de toi jusqu’à ce soir, pour préparer le dîner. D’ici là, tu fais ce que tu veux. Je n’ai qu’une seule exigence : désormais, en ma présence et en celle de ton mari, tu ne porteras plus de culotte.
    
    Elle sursaute, mais ne dit rien.
    
    * *
    
    *
    
    Le lendemain matin, je fais les courses en vitesse avant de me précipiter chez Jeanne pour lui raconter l’après-midi. J’en arrive à mes impressions :
    
    — Vous aviez raison, il fallait vraiment la perturber fortement pour qu’elle commence à prendre conscience de son entourage. C’était drôle de la voir, le soir, marcher à petits pas, les cuisses serrées tout en essayant de garder un air naturel, et puis tirer sur sa jupe à chaque fois qu’elle s’asseyait…
    — Et mon Julien ?
    — Monsieur n’a rien vu. Tout au moins, il n’en a rien laissé paraître.
    — Mmmm ! Le pauvre…
    
    (À suivre) 
«1...3456»