1. Denise


    Datte: 15/06/2018, Catégories: ff, fsoumise, miroir, noculotte, Masturbation intermast, initiatiq, Auteur: Dame_Helia, Source: Revebebe

    ... seins.
    
    Ma main droite quitte sa poitrine et descend doucement sur ses côtes puis, après avoir titillé son nombril, s’aventure sur son ventre et se pose bien à plat sur sa toison. Denise ne peut s’empêcher d’avoir un geste de recul que je bloque avec mon bassin.
    
    Brusquement, je prends conscience de la situation : je suis en train de caresser une femme ! Jeanne a beau m’avoir donné toutes sortes de justifications, le fait est là ! Le pire, c’est que j’aime ça. Je suis toute excitée. Ce corps désirable qui se frotte contre moi, mes doigts qui, échappant à ma volonté, jouent dans les poils d’un autre sexe que le mien. Sensation extraordinaire !
    
    Alors, mon majeur descend pour s’enfoncer entre les lèvres de Denise qui semble, elle aussi, dans un état second. Instinctivement, il trouve la perle qui, chez moi, procure tant de plaisir. Sans intervention de ma volonté, il plonge plus loin chercher de quoi se lubrifier et revient agacer, tapoter, tourner, taquiner, à un point tel que Denise frémit, gémit, se tétanise un instant puis s’écroule dans un cri pour se retrouver assise par terre, hébétée.
    
    Cela me fait reprendre mes esprits. Il me faut respecter le programme décidé avec Jeanne.
    
    — Désormais, je veux que tous les jours tu te regardes, nue, dans le miroir. Que tu examines tout ton corps, que tu prennes conscience qu’il est beau et que tu n’as pas à le cacher. Et si tu dois te caresser, il faudra le faire devant la glace pour que tu puisses te voir.
    
    Elle semble ...
    ... partagée entre sa pudeur et le plaisir qu’elle vient de ressentir. Manifestement un vrai combat s’engage à l’intérieur d’elle-même. Je vais profiter de son état de confusion pour passer à l’étape suivante du plan, la plus difficile pour moi.
    
    — Maintenant, tu vas me rendre le plaisir que je t’ai donné.
    
    J’ai l’impression qu’elle doit voir les soubresauts de mon cœur dans ma poitrine, je suis sûre que j’ai rougi. Mais Denise ne me regarde pas, les yeux fermés, elle essaye de digérer l’ordre que je viens de lui donner, de se pénétrer de ce qu’elle va devoir faire.
    
    Son regard me balaye de la tête aux pieds et j’y lis furtivement un sentiment de dégoût. Je me retiens de la gifler et elle a dû le percevoir car, très vite, son attitude redevient humble et soumise.
    
    Elle s’approche de moi lentement et entreprend de déboutonner ma petite robe noire. C’est fou comme elle peut être malhabile ! Ses doigts dérapent, s’y reprennent à plusieurs fois, elle s’énerve.
    
    — Calme-toi, on a tout notre temps.
    
    Elle finit à genoux pour les boutons du bas puis se relève pour dégager la robe de mes épaules et la laisser tomber au sol. Me voilà en combinaison devant elle. Denise fait glisser les bretelles et les tire jusqu’à mes hanches qui bloquent le vêtement dénudant ainsi ma poitrine. (Je ne porte pas de soutien-gorge – comme aucune femme de ma famille, à cette époque.)
    
    Tremblante, elle pose ses mains sur mes épaules et commence à descendre. Elle évite mes seins et continue sur mes ...
«1...3456»